Cloud in the sky (1940)

De Medfilm



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Titre :
Cloud in the sky
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Conseil scientifique :
Interprétation :
Durée :
19 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc - 35 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Commanditaires :
Archives détentrices :
Corpus :

Générique principal

THE NATIONAL TUBERCULOSIS ASSOCIATION presents "CLOUD IN THE SKY"

Director: EDGAR G. ULMER

Director of Photography: J. BURGI CONTNER

Sound: DEAN COLE

Film Editor: MARC S. ASCH

Contenus

Thèmes médicaux

Sujet

Prévention contre la tuberculose et mode de prise en charge des malades dans la population hispanophone des États-Unis.
Note : ce film est la version espagnole de Nube en el cielo.

Genre dominant

Fiction

Résumé

Dans une communauté hispanique des États-Unis. Une famille est frappée par la tuberculose, emportant la mère, menaçant la fille Consuelo. Avec son père, et au mépris des préjugés entretenus par leur culture, elle décide de prendre conseil chez le médecin.

Contexte

L'immigration mexicaine à destination des États-Unis a fortement augmenté dans la première moitié du XXe siècle, passant de 105 200 personnes en 1900 à 624 400 immigrants en 1930. L'Immigration Act de 1924 établit un quota de 150 000 personnes autorisées à immigrer en Amérique par an. Les raisons de cette vague d'immigration étaient multiples. Les immigrants mexicains étaient attirés par les opportunités d'emploi dans le domaine privé ou de l'agriculture. La révolution mexicaine (1910-1920) ainsi que la violence et les difficultés économiques qu'elle a générées, ont également poussé les gens à quitter leur pays.

Une forte ségrégation raciale et sociale avait cours dans les sanatoriums des années 1930.

Éléments structurants du film

  • Images de reportage : Non.
  • Images en plateau : Non.
  • Images d'archives : Non.
  • Séquences d'animation : Non.
  • Cartons : Non.
  • Animateur : Non.
  • Voix off : Oui.
  • Interview : Non.
  • Musique et bruitages : Oui.
  • Images communes avec d'autres films : Non.

Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?

Le film emploie le registre de la fiction pour édifier les spectateurs ciblés : la communauté hispanique. Les personnages qui en sont issus et la mise en scène de ses traditions montrent qu'elle est approchée avec respect, bien qu'elle soit abordée avec paternalisme. En contrepoint, le récit est déterminé par la double intervention de l'institution sanitaire. C'est d'une part un médecin de famille qui examine Consuelo, l'héroïne, au moment où elle se sent malade. C'est d'autre part par le biais d'un sanatorium où elle est prise en charge.
Pour encourager la communauté hispanique à se tourner vers la médecine, le film fait appel à leur foi chrétienne. C’est le prêtre qui convainc la patiente de se rendre chez le médecin et il explique que cela correspond à la volonté divine.

Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?

La médecine est incarnée par un personnage de médecin volontaire, autoritaire et pédagogue. C’est également un homme qui sait s’adapter à la culture de ses patients, ici des Hispaniques. Il agit en bonne entente avec leur curé pour ne pas heurter leurs croyances. Il implique le père dans la prise en charge de la jeune fille tuberculeuse afin de faire un allié de ce personnage influent. La santé, c’est aussi l’infirmière dont les visites régulières au domicile ont pour objectif de guetter le progrès de la contamination en son sein : une surveillance intrusive sous des dehors empathiques. Enfin, la santé est représentée par le sanatorium, lieu de soins efficace et hospitalier.
Le réalisateur met en scène sa propre vision de la médecine : des soins médicaux ouverts à tous, sans distinction de classe sociale ou de niveau de richesse.

Diffusion et réception

Où le film est-il projeté ?

Cette version anglaise a été projetée dans des écoles, des lieux publics ou occasionnellement en préprogramme au cinéma.

Communications et événements associés au film

Public

Public communautaire

Audience

Descriptif libre

Préambule : l’intégration des populations hispanophones
Musique de grand orchestre aux accents hispaniques, jouée par le Tipica Orquesta. Le générique se déroule sur fond de ciel nuageux en référence au titre du film. Il se termine par l’apparition du symbole (logo) de la National Tuberculosis Association (NTA), une croix à double traverse, avec les angles biseautés. Panoramiques vertical et horizontal sur un paysage désertique. Succession de plans pour attester l’intégration des populations hispanophones dans la société des États-Unis : paysans travaillant la terre, ouvriers aux ateliers d’usine, soldats défilant sous le drapeau américain. Le commentaire rappelle que ces populations sont particulièrement exposées à la menace de la tuberculose. Ce film leur est dédié. (01.18)

Ouverture : les traditions à l’honneur
Danses traditionnelles par des hommes et femmes costumés pour animer un banquet. Les danseurs, munis de cordes, jettent leur chapeau au sol. Les danseuses les ramassent et les lancent dans leur direction. Fondu enchaîné rapide sur l’orchestre et les spectateurs. En plan poitrine, deux hommes regardent le spectacle depuis une table. Leur allure les distingue des autres : ils sont blancs, l’un, homme d’âge mûr, est habillé d’une veste noire, d’une chemise blanche et d’une cravate, l’autre, homme plus jeune, porte une soutane. Ce dernier parle : « Voyez-vous, docteur, c'est un peuple très joyeux. Leurs vieilles traditions, leur langue, tout cela est très important pour eux. » (You see, doctor, they are a very happy people. Their old customs, their own language, all of these things mean so much to them). Le médecin approuve, surveille sa montre, annonce qu’il doit partir. La caméra revient aux danseurs, resserre sur un couple en particulier. Visages d’amoureux, souriants et recueillis. Une petite fille s’approche et murmure quelque chose au prêtre.

Drames à répétition : la mère est morte, la fille est malade
Int. Cage d’escalier, deux enfants et un homme, attitudes prostrées. La femme qui dansait apparaît. L’homme, son père, lui apprend la mort de sa mère. Son jeune frère lui explique que sa mère a eu une violente quinte de toux. La conversation nous apprend que la jeune femme se prénomme Consuelo, qui signifie consolation en espagnol. On peut s'interroger sur le choix du prénom : est-ce un hasard ou a-t-il été choisi pour renforcer le message du film ?
En musique de fond à l’orgue, la cantate BWV 147 10 de Jean Sébastien Bach (Jesus bleibet meine Freunde), qui exprime la foi du chrétien face à l’adversité. Sur un plan de façade d’église se superpose une succession de mots représentant le passage des mois.
À la table familiale, Consuelo picore dans son assiette. Le père s’en inquiète : « Tu ne cesses de tousser, tu ne manges plus, tu es fatiguée. » (You have been coughing, you don't eat, you feel tired). Sa fille a pris le chemin de son épouse emportée par la maladie. Consuelo cherche à le rassurer mais, en parlant, se met à tousser. Elle prétexte la poussière sur la route qui, en l’absence de pluie, a irrité sa gorge. Une fois seul, le père s’adresse au portrait de sa femme pendu au mur de sa chambre pour exprimer à voix haute ses préoccupations. (05.39)

Conseils du jeune prêtre
Intérieur de l’église dont la façade a été montrée (celle où s’est tenue la cérémonie religieuse de l’enterrement de la mère). Consuelo, la tête enveloppée d’une mantille, agenouillée sur les marches du chœur, prie intensément. Le jeune prêtre que nous avons vu au banquet avise sa présence. Elle va le voir et lui explique ses soucis de santé qui s’apparentent à ceux de sa mère. « Aidez-moi, mon Père ! » (Help me, father). Le prêtre répond, il lui donnera toute la consolation de la foi. Il ajoute cependant : « Mais suis mon conseil. Va voir un médecin immédiatement. Il saura t'aider. » (But you must take my advice: you must go to a doctor at once. He can and he will help you).
Comme dans la scène du banquet à l’ouverture du récit, celle-ci met en scène l’alliance de la science et de l’Église. « [Dieu] nous a faits intelligents. Et il nous a donné la science » (He has given us an intelligence. He has also given us science), ajoute le prêtre. À noter que cette alliance entre l'ecclésiastique et le médecin était déjà mise en scène dans un autre film "ethnique" qu'Edgar George Ulmer avait réalisé en 1938 à l'intention de la communauté noire, Let my people live. (06.59)

Examen chez le médecin
Dans le cabinet du médecin. Nous reconnaissons celui qui figurait dans la scène du banquet, en compagnie de Consuelo et de son père. Il leur montre une feuille d’examen, avec différentes rubriques remplies par son écriture : fatigue, perte de poids, toux, fièvre, pas de douleur, état de la gorge normal, perte d’appétit… (Remarque : L'ordre des deux cartons présentant les symptômes a été inversé en anglais, et non dans la version espagnole, sûrement une erreur au montage.) Le médecin enjoint à Consuelo de faire une radiographie. Il lui en explique le principe et lui dit comment se tenir devant l’appareil. « Les rayons X permettent de détecter la tuberculose très tôt, avant l'apparition de symptômes. » (With the X-ray, we can now find tuberculosis in the early stage before there are any other signs). Extrayant l’épreuve photographique de l’appareil, il ajoute que si cela ne tenait qu’à lui, il soumettrait tous les jeunes gens et jeunes filles au même examen. (08.49)
Ext. Jour, le père converse avec l’homme que nous avons vu danser avec Consuelo. Leurs échanges nous apprennent que cet homme s’appelle Pedro. Le père de Consuelo lui explique qu’il faut dépasser ses préjugés et s’en remettre davantage à la science des médecins. Nous voyons que contrairement à Another to conquer, film de prévention contre la tuberculose qu’Edgar Ulmer a tourné à l’intention des populations amérindiennes, l’aîné est ici un allié de la médecine moderne. Consuelo survient. Le père se réjouit : « Tu as meilleure mine. Je pense que le docteur t'a déjà aidée. Mais n'oublie pas que demain, il me dira comment vont tes poumons. » (You look better now. I think the doctor has helped you already but don't forget he will tell me tomorrow all about how your lungs look).
Retour dans le cabinet du médecin, plongé dans l’obscurité pour pouvoir examiner le cliché radiographique. Le médecin s’adresse au père en pointant avec son stylo la partie supérieure des poumons : « Ici, il y a une tache, comme un petit nuage dans le ciel. Les problèmes commencent dans le poumon. » (There, a shadow, like a little cloud in the sky. That means trouble beginning in the lung). Le titre du film provient de ce passage où la tuberculose est décrite comme un petit nuage dans le ciel (a little cloud in the sky). Le père se désespère : telle mère, telle fille. Le médecin le rassure, dissipant le préjugé selon lequel la tuberculose est héréditaire. Il lui montre un livret pour lui expliquer les voies de contamination. C’est le troisième exposé médical du film.
Le médecin conclut que Consuelo doit se rendre dans un sanatorium pour se rétablir. Le père répond qu'il a déjà vu des sanatoriums : « Ils sont beaux. Mais nous sommes pauvres. » (They are beautiful. But we are poor). Le médecin répond que, de même que la maladie touche toutes les personnes de la société, chacune peut se rendre au sanatorium pour préserver la santé des siens. Il ajoute qu’il enverra une infirmière du Département de santé pour préparer le départ de Consuelo. Enfin, il explique au père que ses deux autres enfants doivent absolument être examinés. (13.43)

Séjour au sanatorium.
Une automobile se gare devant le perron d’un bâtiment. Consuelo sort du véhicule, accompagnée d’une infirmière.
Sa famille est réunie sur le porche devant leur maison. Un homme vient les voir, exprime ses réticences devant la prise en charge de Consuelo. « Tu es l’homme le plus ignorant que j’aie jamais vu » (You are the most ignorant man I ever saw), lui répond le père. L’homme se défend. Comme il crache par terre, le père le reprend, appliquant la leçon préventive du médecin : « J'ai un livre à te montrer. » (I have a book, and I want you to see it by yourself). À présent, il se charge de relayer le message de celui-ci : le savoir n’est pas la propriété exclusive des médecins. Le père, après avoir été formé aux caractéristiques de la maladie, devient un missionnaire de l’institution de santé, ce que la NTA, qui a commandité le film, promouvait à l’époque. (15.13)
L’infirmière se présente à la famille pour la rassurer sur la santé de Consuelo. « C’est gentil de venir si souvent » (You are so nice to come so often), lui dit le père en ôtant son chapeau. Elle avoue que ses visites fréquentes visent aussi à surveiller l’état de santé de chacun.
Consuelo est alitée dans le sanatorium. Harmonie de blanc : draps blancs, tête de lit en métal blanc, fleurs blanches sur la table de chevet, blouse blanche de l’infirmière qui se tient à ses côtés. « Vous pourrez bientôt rentrer » (You'll be going home soon), la rassure-t-elle. « Je ne sais pas comment vous remercier tous. » (I don't know how I can thank all of you), répond Consuelo. L’infirmière qui contrôle la température de Consuelo s’adresse à elle sur un ton paternaliste : « Brave fille » (That’s a good girl!).
Une sérénade se fait entendre de l’extérieur, la chanson mexicaine Cielito lindo qui signifie ‘joli petit ciel’, autre jeu de mot renvoyant au titre. Raccord, ext. Jour, Pedro joue de la guitare et chante en regardant vers un point du hors champ que nous devinons être la fenêtre de la chambre de Consuelo. Un employé du sanatorium vient pour le chasser, en vain. Gros plan sur le visage souriant de Consuelo qui écoute la musique, promesse d’un retour à la vie normale, au mariage espéré.

Mariage et célébrations
Noir. Le médecin se trouve avec Pedro et Consuelo, il félicite celle-ci pour sa docilité et lui promet qu’ils pourront se marier. Son ton est également paternaliste : « Vous avez été bien sage » (You’ve been a good girl). Brève évocation de la cérémonie dans l’église, puis scène de banquet qui boucle le film avec un rappel du début de celui-ci. De nouveau, le prêtre et le médecin sont réunis à la même table. « Vous vous rappelez notre dernière visite ici ? Je vous avais dit que c'était un peuple joyeux. Désormais, c'est aussi un peuple en bonne santé. » (Remember, doctor, the last time we were here, I remarked to you that these are very happy people, and now I add, a very healthy people). La musique jouée par l’orchestre lors du banquet reprend la ballade La Adelita, une chanson datant de la révolution mexicaine.

Notes complémentaires

Le film Cloud in the sky a également été tourné en version espagnole, sous le titre Nube en el cielo.

Si les acteurs, les scènes et le message du film sont identiques, quelques différences sont à souligner.
Tout d’abord, il y a deux scènes où les personnages qui prennent la parole sont différents. C’est ainsi le père, et non le jeune frère, qui annonce à Consuelo comment sa mère est décédée. (03.10 – 03.26) La raison de ce changement de personnage est inconnue, s’agit-il d’une question de connaissances linguistiques ou de culture ?
De même, lorsque le père, le fiancé et Consuelo sont réunis sur le porche de la maison, c'est le fiancé qui prend la parole, contrairement à la version anglaise. (10.34 – 11.13) La scène est d’ailleurs plus compréhensible et amusante en espagnol (car il manque une réplique dans la version anglaise). Est-ce le signe d'un montage hâtif, reflet de contraintes budgétaires serrées, ou de contraintes de durée des scènes ?

Par ailleurs, le film en espagnol a un but plus ambitieux : il s’adresse à l’ensemble de la population hispanophone (et pas seulement aux malades) et souhaite que tout le monde soit débarrassé de la tuberculose : « Cette histoire leur est dédiée, à eux qui subissent leur part de l'écrasant fardeau de la tuberculose, et à toute la population hispanophone, en espérant qu'arrive le jour où tout le monde sera libéré du plus redoutable et du plus ancien ennemi de l'homme : la tuberculose » (A ellos, que sufren y soportan su parte en la carga brumadora de la tuberculosis, y a toda la gente de habla española, se les dedica esta historia, en la esperanza de que llegue el día en que toda las gentes se vean libres del más temible y antiguo enemigo del hombre: la tuberculosis). La version anglaise s'adresse, quant à elle, aux hispanophones américains et recherche la libération des États-Unis : « Cette histoire leur est dédiée, dans l'espoir qu'elle hâtera l'arrivée du jour où toute notre nation sera libérée du plus ancien ennemi de l'homme : la tuberculose. » (This story is dedicated to them in the hope that it will speed the day when our whole nation shall be freed of man's ancient enemy: tuberculosis). (01.15 – 01.36)

Lors du discours du prêtre, deux éléments ressortent. Une emphase plus importante est faite sur le verbe ‘guérir’, guérison spirituelle (ensalmar) et physique (curar, sanar) en espagnol. Le discours est également davantage religieux et le prêtre insiste sur le fait que faire appel à la médecine est une obligation qui correspond à la volonté divine. Cette scène est tournée selon un angle légèrement différent en espagnol, ce qui confirme que le film a été tourné dans les deux langues et non pas doublé.

Une phrase est ajoutée lors de l’échange entre le médecin est le père : « Les traitements modernes de la tuberculose permettent aux poumons de guérir. » (Los tratamientos modernos de la tuberculosis dan a los pulmones oportunidad de sanar). (11.50 – 13.17) La version espagnole insiste donc davantage sur la possibilité de rétablissement grâce à la médecine.

Une chose est surprenante : lorsque l’employé du sanatorium vient chasser Pedro, il s’exprime également en anglais dans la version espagnole. (18.13 – 18.55)
Pour finir, le ton du médecin et de l’infirmière est moins paternaliste dans la version espagnole que dans la version anglaise, sans doute pour ne pas heurter le public : « Bravo, jeune fille » (¡Qué buena muchachita!), « Tu t'es bien comportée. » (Has sido muy buena).

Références et documents externes

Lowy, Vincent & Cantor David, "Conversion Narratives, Health Films, and Hollywood Filmmakers of the 1930s and 1940s" in Christian Bonah, David Cantor and Anja Laukötter, eds. Health Education Films in the Twentieth Century, Rochester, University of Rochester Press, 2018.

McWhinney Margaret. Communication contagion: director Edgar G. Ulmer's National Tuberculosis films of 1939, Masters of Fine Arts dissertation, Montana State University, 2014, URL : https://scholarworks.montana.edu/xmlui/bitstream/handle/1/3609/McWhinneyM1214.pdf;sequence=1 [consulté le 17 mai 2017]

Orgeron, Devin, "Edgar Ulmer, the NTA and the power of sermonic medicine" 21 August 2017, Medicine on the screen URL: https://www.nlm.nih.gov/hmd/collections/films/medicalmoviesontheweb/orgeron-ulmer-essay.html [consulté le 6 septembre 2017]

Zong, J. et Batalova, J.,"Mexican Immigrants in the United State", Migration Policy Institute, 2014, URL : https://discuss.ilw.com/articles/articles/385286-article-mexican-immigrants-in-the-united-states-by-jie-zong-and-jeanne-batalova [consulté le 26 juin 2018]

Contributeurs

  • Auteurs de la fiche : Joël Danet, Séverine George
  • Transcription Anglais : Chloé Bourgogne, Séverine George
  • Sous-titres Français : Laetitia Serris
Erc-logo.png  Cette fiche a été rédigée et/ou traduite dans le cadre du projet BodyCapital, financé par l'European Research Council (ERC) et le programme de l'Union européenne pour la recherche et l'innovation Horizon 2020 (grant agreement No 694817).