The Temple of Moloch (1914)
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Title | The Temple of Moloch |
Year of production | 1914 |
Country of production | États-Unis |
Director(s) | Langdon West |
Actor(s) | Harold Vosburgh Warren Cook Bessie Learn Yale Boss Carlson S. King Mathilde Baring |
Duration | 13 minutes |
Format | Muet - Noir et blanc - 35 mm |
Original language(s) | English |
Subtitles and transcription | French |
Production companies | Edison Manufacturing Company |
Commissioning body | National Tuberculosis Association |
Main credits
THE TEMPLE OF MOLOCH
A Red Cross Seal Story
Content
Medical themes
- Hygiene of dwellings
- Prevention and control of communicable (infectious, contagious) diseases. Prevention of epidemics
- Pathology of the respiratory system. Complaints of the respiratory organs
- Communicable diseases. Infectious and contagious diseases, fevers
Theme
Main genre
Synopsis
Context
Les six films sont les suivants :
- The Red Cross Seal, 1910
- The Awakening of John Bond, 1911
- Hope: A Red Cross Seal Story, 1912
- The Price of Human Lives, 1913
- The Temple of Moloch, 1914
- The Lone Game, 1915
Chaque film était présenté en novembre ou décembre entre 1910 et 1915 et était lié à la campagne de vente de vignettes de bienfaisances de la Croix-Rouge pour lever des fonds pour la tuberculose.
La tuberculose était l’une des principales causes de décès aux États-Unis au début du XXe siècle. En 1915, la prévalence des décès liés à la tuberculose est estimée à 146 décès pour 100 000 habitants. À cette époque, le traitement contre la tuberculose consistait principalement en des séjours dans des sanatoriums en plein air, offrant du repos, des soins pour pallier les différents symptômes et une alimentation saine. Les premiers sanatoriums ont été construits en Europe. C’est Edward Livingstone Trudeau qui construit le premier sanatorium américain en 1885. Ce n’est qu’en 1945 qu’un traitement antibiotique est découvert. En 1908, 85 villes obligeaient les médecins à déclarer leurs patients atteints de tuberculose, ce qui dissuadait les malades de demander une assistance médicale par peur de se voir discriminés.
Le film est basé sur un livre de Thomas Crawford publié en 1915, T.B.: Playing the Lone Game: Consumption.Structuring elements of the film
- Reporting footage : No.
- Set footage : No.
- Archival footage : No.
- Animated sequences : No.
- Intertitles : No.
- Host : No.
- Voice-over : No.
- Interview : No.
- Music and sound effects : No.
- Images featured in other films : No.
How does the film direct the viewer’s attention?
How are health and medicine portrayed?
Broadcasting and reception
Where is the film screened?
Presentations and events associated with the film
Audience
Local, national, or international audience
National
Description
Supplementary notes
Red Cross Seal
Aucune copie de ce film n'a été conservée. Datant de 1910, il mettait en scène une jeune femme confrontée à des difficultés financières. Elle gagne un prix pour réaliser la vignette de bienfaisance de la Croix-Rouge mais offre cet argent à un jeune garçon, atteint de tuberculose, pour qu'il puisse se soigner.
The Awakening of John Bond
Ce film, dont le scénario a été rédigé par Bannister Merwin, présente un propriétaire qui prend conscience de l'importance de la salubrité des logements qu'il possède lorsque sa femme contracte la tuberculose. Le film a été projeté notamment dans des parcs de New York.
Hope
Ce film a été réalisé par Charles J. Barbin, et son scénario a été écrit par James Oppenheim.
Le film Hope, datant de 1912, a été reproduit depuis le négatif d'origine par le Museum of Modern Art de New York, avec le financement du National Endowment for the Arts et du Celeste Bartos Film Preservation Fund.
À l'époque, le film a été projeté dans des théâtres et dans d'autres salles. Le projet de projeter ce film dans des écoles publiques de Los Angeles a été contré par le mouvement de la Science Chrétienne. Il est sorti le 16 novembre, deux jours avant le début de la campagne de vignettes de bienfaisance de 1912.
La National Association for the Study and Prevention of Tuberculosis a organisé plusieurs projections gratuites en plein air dans les parcs de New York, en collaboration avec le Département de Santé de la ville.
Source : https://www.filmpreservation.org/preserved-films/screening-room/hope-a-red-cross-seal-story-1912#
Lors de la sortie du film, la tuberculose était toujours un problème de santé important et des idées préconçues la définissaient comme une "maladie de ville".
Il met en scène un banquier qui, sollicité par la National Association for the Study and Prevention of Tuberculosis, refuse de financer un sanatorium, prétextant que la ville était trop petite pour que des gens soient atteints de tuberculose. La femme qu'il aime tombe alors malade et part, en secret, se soigner à New York, dans un sanatorium. Des manifestations aboutissent à la création d'un sanatorium dans la petite ville, permettant à la jeune femme d'être soignée à proximité de ceux qu'elle aime.
The Price of Human Lives
Le scénariste de ce film est Epes Winthrop Sargent. Ce film met en scène une jeune femme qui s'engage en service civique contre l'avis de sa famille et de son fiancé. Elle aide deux jeunes tuberculeux, Nell et Edward, qui se soignent grâce à 'Concura', un remède réputé infaillible. Elle se rend alors compte qu'il s'agit d'un faux remède et que son fiancé et son père sont impliqués dans la fabrication de ce remède.
Se référer à la fiche Medfilm.
References and external documents
National Film Preservation Foundation, Hope—A Red Cross Seal Story (1912), https://www.filmpreservation.org/preserved-films/screening-room/hope-a-red-cross-seal-story-1912, [consulté le 10/06/2018]