Peut-on fabriquer l'homme ? (1988)
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La fécondation in-vitro : son évolution et ses dérives possibles.
Genre dominant
Résumé
Six ans après la naissance d'Amandine (24 février 1982 à Clamart), le premier enfant français conçu grâce à la fécondation in vitro (FIV), l'émission ouvre un débat sur les dérives possibles de cette avancée médicale.
Contexte
Les premières études sur la FIV ont commencé très tôt puisque dès 1934, le chercheur américain Gregory Pincus publie ses résultats d'expériences sur des lapins. En 1944, Miriam Menkin réalisa une tentative fructueuse, sans tenter de réimplantation dans l'utérus.
La personnalité marquante de cette avancée scientifique est le physiologiste anglais, Robert Edwards. Après 20 ans d'études et d'expériences sur la fécondation et le transfert d’embryon (aussi bien chez l’animal que chez l’homme), il permet la naissance de Louise Brown en 1978, première naissance viable d'un enfant par la procédure de la FIV. Cette naissance fut très médiatisée, célébrant un nouvel espoir pour les femmes atteintes de stérilité tubaire définitive. Mais des réticences se sont exprimées, à la fois d'un point de vue d'autres scientifiques et à la fois d'un point de vue religieux. Robert Edwards a reçu le prix Nobel de médecine en 2010 pour ses travaux pionniers sur la FIV.
Afin d'augmenter les chances de fécondation, les scientifiques commencent à stimuler l’ovulation en 1981 contrairement aux premières FIV où les chances de succès étaient très faibles suite au prélèvement d'un seul ovocyte. Le principe de la stimulation d’ovulation permet d’obtenir plusieurs ovocytes au lieu d’un seul et ainsi de multiplier les chances de succès de la fécondation, puis de la réimplantation de l’embryon dans l’utérus.
La FIV en France :
Le Pr René Frydman a pu rencontrer Robert Edwards ou a effectué un stage en Australie au tout début des années 1980. Plusieurs équipes travaillaient sur la réalisation d'une FIV, notamment une équipe composée du Dr Jacques Testart et le Pr René Frydman et une équipe dirigée par le Dr Jean Cohen. Même s'il ne s'agissait pas réellement d'une compétition, chaque équipe voulait évidemment réussir la première une FIV. La deuxième équipe ne parvenait pas à obtenir une fécondation alors que la première n'arrivait pas à produire une grossesse après la fécondation. Les deux équipes ont alors décidé de réaliser un partenariat pour s'entre-aider et finalement obtenir le résultat tant attendu : la naissance d'Amandine. Comme en Angleterre, il y a eu une certaine réticence face à ce nouveau procédé. C'était un état d’esprit mitigé avec de nombreuses personnes opposées. Même dans le milieu scientifique, beaucoup pensaient qu'il fallait encore expérimenter davantage sur les animaux avant de mettre en pratique. Dans la population, les Français ne savaient pas forcément que des scientifiques travaillaient sur la FIV en France mais ils avaient entendu parler de la naissance de Louise Brown en Angleterre. Il y avait donc des réactions virulentes et une sorte de choc de pouvoir imaginer que l'on puisse avoir un embryon sous les yeux et le toucher ou le manipuler, même s’il s'agissait d'un corps médical.
Amandine, premier bébé éprouvette français :
Le premier «bébé éprouvette» en France s'appelle Amandine et est né le 24 février 1982 à l’hôpital Antoine Béclère de Clamart grâce à la technique de la FIV effectuée par l’équipe du Dr Jacques Testart et le Pr René Frydman (d'ailleurs tous les deux présents sur le plateau de l'émission).
Il s'agissait évidemment d'un énorme événement très suivi par les médias. Mais les parents d'Amandine ont tenté de conserver leur anonymat au maximum et de protéger leur intimité, connaissant la médiatisation extrême qui avait entouré la naissance de Louise Brown. L'accouchement devait alors se dérouler dans le plus grand secret. Le Pr René Frydman a témoigné qu'ils avaient dû user de plusieurs ruses, dont programmer une fausse date de césarienne pour une patiente mystérieuse après avoir découvert des photographes déguisés en infirmiers qui circulaient dans les couloirs hospitaliers, ou d'autres installés dans le bâtiment d’en face.
L’après-Amandine :
L’essor de la FIV a été très rapide en France. Dès juin 1982, on obtient une deuxième naissance à l’hôpital de Sèvres grâce à la technique. Rapidement, des centres de FIV s'ouvrent ailleurs en France que dans la capitale : Montpellier ou Bordeaux par exemple. Devant l’engouement, on crée un Comité consultatif national d’éthique en 1983 afin de débattre sur les questionnements soulevés par ce type d’innovation. On discute notamment vivement du statut de l'embryon. Une nouvelle étape est franchie en 1986 avec la première naissance en France de bébés après une cryopréservation (congélation) des embryons. Cela, une fois de plus, suscite des réactions nombreuses. La même année, la recherche est encadrée par le Groupe d’étude de la fécondation in vitro en France (GEFF). Des enquêtes de santé publique sont menées.
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Oui.
- Images d'archives : Oui.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Non.
- Animateur : Oui.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Oui. « Quand la vie commence ... », un film de Claude EDELMANN, copyright LA VILETTE
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Tout au long de l'émission, la FIV est montrée comme conduisant à des dérives importantes, pouvant mettre en danger la reproduction naturelle avec la mise en point de nouveaux procédés. Ainsi, même si tout au long de l'émission on dit souhaiter laisser les citoyens se forger leur opinion, les différents discours entendus durant le débat suggèrent plutôt au téléspectateur que toutes ces avancées sont inquiétantes et qu'elles ne sont pas morales. Tous les invités, même s'ils sont issus de différentes disciplines, argumentent dans le même sens. Il n'y a pas eu de médecins sur le plateau expliquant pourquoi de leur point de vue, ces expériences leur semblaient nécessaires. Il s'agit donc d'un débat sur plateau qui n'en est pas vraiment un et qui veut surtout donner un avis majoritairement négatif sur ce qui se fait à l'époque au niveau des recherches concernant la FIV.
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Dans cette émission, on cherche à faire réfléchir la société sur le discours scientifique et l'avancée scientifique de la médecine. Le fait de donner accès à la connaissance de l'actualité médicale et à ce débat doit pouvoir permettre au téléspectateur de réfléchir sur cette thématique qui touche tout le monde. De façon plus précise, la médecine est montrée comme un domaine devant se confronter à des limites, notamment au niveau de la morale et de l'éthique. Le procédé va-t-il trop loin, est-il contre-nature ? Cette avancée médicale est extrêmement critiquée et le fait que Jacques Testart, une des figures principales de la FIV en France, participe au débat en exposant lui-même ses réticences, renforce cette charge orchestrée. La science en général est critiquée, puisque l'on dénonce une sorte de suprématie de l'avancée scientifique sans réflexion.
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Diffusion télévisuelle sur France 3.
Communications et événements associés au film
Public
Le public visé par cette émission est appelé à être doté d'un niveau culturel supérieur. En effet, les invités font appel à de nombreuses références pour appuyer leurs arguments lors du débat ; il est donc parfois un peu difficile de suivre lorsque l'on ne possède pas les connaissances nécessaires. Il n'est pas question de vulgariser un sujet pour faire comprendre au plus grand nombre de téléspectateurs mais d'exposer une situation scientifique et d'en débattre pluridisciplinairement pour forger un avis critique et raisonné en toute connaissance de cause.
Audience
Descriptif libre
Présentation du sujet et bibliographie
Jean-Maurice de Montremy, animateur, présente la FIV comme un objet de fantasme pour de nombreuses personnes et comme un sujet très médiatisé. Il fait notamment référence à un cas très particulier où une grand-mère sud-africaine a porté un enfant fécondé par son gendre et sa fille. Cet événement est alors récent, 1987. Montremy présente également des livres publiés sur le sujet, et ils sont nombreux : L'enfant de l'esclave : génétique et droit de François Terré (1987), un ouvrage de droit sur tous les problèmes juridiques posés par la FIV ; Je t'ai trouvé au bout du monde, Journal d'une adoption de Dominique Grange (1987) sur la réalité de son expérience vécue ; Simon l'embaumeur ou la Solitude du magicien (1987) et L’œuf transparent de Jacques Testart (1986) et L'abolition de l'homme de Clive Staples Lewis. La revue Esprit de juillet 1987 a également publié un grand débat sur la science et la culture, ainsi que sur les limites de la science. Cette énumération montre que le sujet est brûlant et tourmente les juristes, les médecins ou encore la presse.
Présentation des trois invités principaux : François Terré, du domaine du droit, Irène Fernandez, issu du domaine philosophique, professeur de philosophie à l'école normale supérieure de Paris et membre de la Société française de réflexion bioéthique et Jacques Testart, scientifique connu comme « père » d'Amandine puisqu'il a activement participé à la réussite de cette première naissance par la FIV.
Nommer le sujet : la FIVETE
Jacques Testart rappelle que le terme « bébé éprouvette », très employé, ne veut rien dire scientifiquement. Le docteur a alors inventé, si l'on peut dire, le raccourci FIVETE (Fécondation In Vitro et Transfert d'Embryon), permettant de rester dans l'exactitude. Pour lui, et malgré les améliorations qu'apportent ces techniques, la FIVETE est arrivée à deux dérives, qui lui ont donné envie d'arrêter les recherches sur le sujet. La première dérive est d'avoir maîtrisé le cycle de la femme à l'aide de traitements hormonaux afin de récolter plus d'ovules. Avec les améliorations de ces traitements, on peut récolter, à l'époque de l'émission, jusqu'à 15 ovules en une seule intervention chirurgicale. Sachant que les deux tiers donneront un embryon après la fécondation et que l'on ne peut pas en mettre plus de trois ou quatre dans le corps de la femme sans risquer une grossesse multiple, les chances sont alors plus que multipliées, car on possède trop d'ovules fécondés. Pour arranger cette situation, les médecins pratiquent donc la congélation, ce qui évite une autre intervention de prélèvement et donne des chances pour les parents voulant un deuxième enfant. Pour le docteur Testart, la deuxième dérive commence au niveau de cette congélation. Il y a un cercle entre les dérives et les améliorations plus efficaces car l'envie de réussite conduit aux dérives. Le prochain enjeu scientifique tend à la recherche du contenu génétique de l'embryon. Ces informations pourraient à la fois permettre de comprendre pourquoi la FIVETE ne fonctionne pas mais aussi de s'assurer de la qualité de l'enfant en évitant la naissance d'enfants anormaux pour les couples à risques par exemple. Mais cela pourrait conduire ensuite à ce que les couples veuillent choisir différents traits de leur enfant : le sexe, la couleur des yeux ou des cheveux,… car en effet, ce genre d'avancées crée ensuite de la demande. La FIV était un espoir pour les couples avec femmes stériles. Or, avec le temps, il n'y a plus que la moitié des demandes de FIV qui se font pour cette raison. Ces demandes non justifiées sont souvent annulées par les couples eux-mêmes à cause du temps d'attente (1 an/1 an et demi).
Le débat
[7:29 à 7:43] Petit document illustrant la fécondation naturelle. Il n'y a pas d'explications ou de présentation. Le document se joue en même temps que le docteur Testart continue son argumentation.
Le Comité d'éthique en charge du sujet de la FIV a également conseillé un temps d'arrêt de 3 ans pour la recherche. Mais Irène Fernandez soulève alors qu'il est important de se demander, pendant ce temps, qui réfléchit à l'évolution de cette recherche. Le fait de faire une pause dans la recherche ne donne pas plus de réflexion sur les problèmes et les dérives. Il faut aussi se demander ce que devient la maternité et la paternité et le rapport au corps lorsqu'une procédure naturelle est entièrement médicalisée. Si de nouveaux moyens se développent, il est normal que les gens d'une société souhaitent en disposer.
[11 :46 à 13:14] Document sur le développement de l'embryon avec la lecture d'un passage du meilleur des mondes de Huxley en voix off. Une fois de plus, il n'y a pas de transition vers de document. Mais il est certain que le but de cette lecture est la réflexion, d'autant plus que la fin de la dernière phrase lue est : « l'invention humaine ».
Les deux principaux invités présents à la table centrale aux côtés du présentateur sont le docteur Testart et Irène Fernandez. Mais de nombreux autres invités, non présentés forcément, sont présents tout autour de cette table centrale dans des sortes de tribunes. Ils prennent alors rapidement la parole d'un côté ou de l'autre de la pièce pour argumenter brièvement sur des thématiques les concernant. Il y a généralement un gros plan sur eux lorsqu'ils prennent la parole.
Après des tentatives de FIV qui ont échoué et dont elle parle dans son premier livre « Un enfant derrière la vitre », Dominique Grange s'est finalement tournée vers l'adoption (ce qu'elle raconte dans son nouveau livre évoqué en début d'émission). Elle pense alors que la stérilité devient un combat médical, construit par les médecins et dans la tête car on pense qu'en tant que couple, on a le droit à un enfant. Or, c'est surtout chaque enfant qui a un droit à des parents. Elle termine donc sur le fait que la FIV et ses dérives sont finalement une poursuite de façon obsessionnelle de ce que la nature n'a pas voulu donner.
Il faut une réflexion d'ordre moral
On se questionne alors entre le désir d'enfant et le droit à l'enfant et Irène Fernandez le souligne bien, un désir d'enfant ne veut pas dire un droit à l'enfant. Cet absolu, ce désir peut donc rendre fou et cela questionne aussi sur une société où l'on cherche à tout prix à réaliser tout ce dont on a envie pour se sentir bien. D'un point de vue psychanalytique, Michel Cazenave rappelle l'importance des relations du fœtus à la mère avant la naissance. Des études ont par exemple prouvé qu'un bébé pouvait être en dépression en sentant que sa mère ne l'aimait pas. Dans l'inconscient, il y a des enjeux qui sont extrêmement forts et la FIV joue un rôle dans cet inconscient.
Irène Fernandez se questionne alors sur qui doit décider de ce qui est moral ou non. Pour elle, ce n'est pas possible de faire un sondage sur la morale à travers la société. Elle rappelle aussi, pour réagir sur les propos de Michel Cazenave, qu'un enfant n'est pas une prothèse psychologique pour les parents. Pour le docteur Testart, il y a une vraie emprise idéologique de la science, qui est plus qu'admirée et empêche donc de s'interroger sur les soucis qu'elle crée car la science est aussi à l'origine de problèmes et non pas seulement de bienfaits. Pour avoir une bonne réflexion, il faut être plusieurs. Il déplore que le Comité d'éthique pour la FIV soit à deux tiers composé de membres chercheurs ou médecins. La transdisciplinarité n'étant pas suffisamment représentée, la réflexion n'est pas assez approfondie. Martin Andler ne comprend pas pourquoi la réflexion ne s'est pas lancée avant même de commencer les recherches. D'après lui, lorsque des recherches sont clairement finalisées, on réfléchit avant à la finalité des choses. Le docteur Testart ne nie pas que tous les problèmes que l'on se pose actuellement, à l'époque de l'émission, pouvaient faire l'objet de questionnements avant de pratiquer les recherches. Dans son cas personnel, il ne pensait pas réellement que la FIV allait fonctionner donc il ne s'est pas préoccupé des problèmes que ça allait engendrer. François Luçat souligne finalement que la recherche se fonde sur une loi, souvent appelée « loi de Gabor » : « Ce qui peut être fait doit être fait », donnant une justification à toutes les dérives.
[28:53 à 29:25] Document où l'on assiste à la naissance naturelle d'un bébé sur le fond d'une voix off lisant un texte à propos des utopies. Une fois de plus, il n'y a ni transition, ni explications pour ce document.
On se plaint souvent du manque de lois, des lacunes du droit dans le domaine de la FIV mais François Terré est formel, le droit répond à la majorité des questions que l'on se pose et dans ce cas, il donne une réponse : la personne humaine n'est pas considérée à sa fécondation mais qu'à partir de sa naissance. Pour Irène Fernandez, le droit évolue constamment en fonction des nouvelles situations auxquelles il doit faire face. Ainsi, un embryon est tout de même quelque chose de possiblement humain. Le fait que la loi ne le considère pas comme tel donne une certaine légitimité à la science pour le toucher. Valérie Marange se questionne alors sur le sacrifice d'embryon à des fins de recherches comme celles évoquées précédemment par exemple et sur la réelle nécessité de cette recherche. Pour le docteur Testart, le fait de faire toutes ces recherches dans des buts de sous-disant progrès crée de nouveaux problèmes. Une fois qu'une technique est fiable, une demande est créée et le fait de ne pas pouvoir obtenir ce que l'on souhaite par ces techniques peut créer des souffrances réelles qui n'existaient pas avant d'en produire une demande. Maintenant que la technique est lancée, il est normal de vouloir la perfectionner mais malheureusement, c'est ces mises au point qui conduisent à des dérives.
Il est essentiel de réfléchir à la FIVETE d'un point de vue moral. Il est difficile de dire si la société peut ou non réfléchir ce qui est bon ou mauvais mais il faut quand même mettre le débat sur la place publique. Irène Fernandez se demande la responsabilité que doit prendre le pouvoir politique dans ce cas. Elle reprend l'exemple de l'abolition de la peine de mort décidé par l’État alors que les Français avaient voté pour la conserver. Elle trouve cela regrettable que les choses se fassent et que par la suite, personne n'en soit jamais responsable, d'où la nécessité de se questionner et de trancher avant une trop grande dérive. François Lurçat dénonce les avancées techniques et la science qui sont toujours mises au premier plan alors qu'il est davantage nécessaire de prendre des responsabilités. Enfin, Jacques Testart dénonce la trop grande importance qu'a pris la science dans la société, lui donnant toujours raison et tous les droits en matière expérimentale sous prétexte d'avancer technique alors que des communautés se positionnent négativement. Pour lui, le fait que la science a réponse à tout, que les médecins soient libres de tout et utilisent les méthodes à leur grès alors qu'elles viennent d'être mises au point n'est plus supportable.
[49:41 à 49:47] Le document précédent (la naissance) reprend et l'on voit le premier contact entre la mère et son enfant. L'image se fixe pour lancer le générique final.
Notes complémentaires
Références et documents externes
Grange, Dominique. Je t'ai trouvé au bout du monde. Journal d'une adoption, Paris : Stock Laurence Pernoud, 1987.
Huxley, Aldous. Le Meilleur des mondes, Paris : Plon, 2018[1932].
Lewis, Clive Staples. L'abolition de l'homme, Limoges : Criterion, 1986.
Springer, Mathias, "La découverte des enzymes qui tranchent l'ADN" Esprit, juillet 1987
Terré, François. L'enfant de l'esclave: génétique et droit, Paris : Flammarion, 1987.
Testart, Jacques. Simon l'embaumeur ou la Solitude du magicien, Paris : Éditions François Bourin, 1987.
Testart, Jacques. L'œuf transparent, Paris : Flammarion, 1986.
Sur la fécondation in vitro, voir fiv.fr et fecondationinvitro.com
Sur l'histoire de l'INSERM, voir "De l'INH à l'Inserm. De la santé publique à la recherche médicale", histoire.inserm.fr
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Marie Janot