Parent to child about sex (1967)

De Medfilm



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Titre :
Parent to child about sex
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Conseil scientifique :
Durée :
30 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc -
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Commanditaires :
Archives détentrices :

Générique principal

Gén. début :

PARENT TO CHILD ABOUT SEX, STUART M. FINCH, M, D. Professor of Psychiatry, Director of Children’s Psychiatric Hospital, University of Michigan, Ann Arbor Michigan. / TOMMY N. EVANS, M. D. Chairman, Department of Obstetrics and Gynecology Wayne State University School of Medicine Detroit, Michigan. / THE REVEREND WILLIAM H. GENNE Department of Education Development National Council of Churches of Christ, U.S.A. / REVEREND CHARLES SHEEDU C.S.C Dean, College of Arts and Letters, University of Notre Dame / RABBI MORDECAI L. BRILL Chairman National Commission on Marriage and Family Life Synagogue Council of America / EARL C. KELLY Ph D. Distinguished Professor of Education Wayne State University. / GEORGIA HALL Kalamazoo Public Schools Kalamazoo Michigan KENNETH D. RODGERS, M.D. / Professor and Chairman of the Department of Preventive and Social Medicine. University of Pittsburgh School of Medicine. / DIRECTOR FREDRICK J. MARGOLIS M.D. / PRODUCER REX J. FLEMING

Gén. fin :

Rex Fleming Productions, Santa Barbara, Calif.

Contenus

Thèmes médicaux

Sujet

Comment, en tant que parent, bien parler de sexualité à ses jeunes enfants et à ses adolescents (choix des mots, contenus du discours, attitudes à avoir ou à éviter).

Genre dominant

Émission de plateau

Résumé

Un gynécologue et un psychiatre présentent à travers une série de reconstitutions fictives la bonne démarche à avoir face aux questions, aux gestes, aux difficultés et angoisses liées à la sexualité chez les enfants et les adolescents. Le but étant de les préparer à une vie conjugale et parentale exempte d’angoisses liées à de mauvais traitements que les parents pourraient infliger par erreur ou par ignorance.

Contexte

À partir des années 1940, l’État fédéral débute l’implémentation de programmes d’éducation sexuelle encourageant la sexualité procréatrice. Ces politiques prennent la forme de discussion, d’imprimés et de productions filmées. Les considérations de santé sexuelle se mêlent aux considérations morales. À l’école, les enseignements sont encore dispensés en classe non mixtes.

Éléments structurants du film

  • Images de reportage : Oui.
  • Images en plateau : Oui.
  • Images d'archives : Oui.
  • Séquences d'animation : Oui.
  • Cartons : Oui.
  • Animateur : Oui.
  • Voix off : Oui.
  • Interview : Oui.
  • Musique et bruitages : Non.
  • Images communes avec d'autres films : Non.

Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?

Le discours des deux médecins est illustré par des séquences de fiction mettant en scène des comportements à imiter ou à éviter. Chaque séquence fictive est ponctuée par un témoignage ou par un monologue de l’un des médecins en plan rapproché comme s’adressant au spectateur. La composition des scènes de fiction insiste sur l’importance du dialogue et de la considération pour les interrogations des mineurs (placement au centre des enfants, axe de la caméra mettant au même niveau les regards des parents et des enfants lors des dialogues,…).

Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?

Le discours scientifique est représenté comme devant dissiper les gênes et les malaises des parents face au développement psycho-sexuel de leurs enfants. La science doit permettre d’écarter les préjugés moraux et l’ignorance. Le discours des médecins participe cependant à la promotion d’un modèle bien précis : le couple marié hétérosexuel dont l’épanouissement se concrétise dans la parentalité. Le discours scientifique n’est alors qu’une base que l’on met en œuvre à travers une relation de dialogue intrafamilial bienveillant et compréhensif de parent à enfant. L’intervention directe du médecin dans l’éducation sexuelle est donc réduite à la formation des parents en amont. Dans certains cas, ceux-ci sont amenés à intervenir plus directement pour résoudre des problèmes spécifiques tel que les crampes menstruelles.

Diffusion et réception

Où le film est-il projeté ?

Cinémas, lieux dédiés à l'éducation où parents et pédagogues se rencontrent

Communications et événements associés au film

Public

Professionnels de l'éducation, parents

Audience

Descriptif libre

Introduction du programme : une sexualité saine transmise par les parents

Le visage d’une femme puis d’un homme en gros plan, ils ont l’air inquiets et agités. Ils ont conscience qu’aujourd’hui la sexualité doit être parlée entre parents et enfants. Cependant, personne ne leur dit comment faire (la femme), ils sont effrayés (l’homme). (00:14) Générique sur fond musical. Stuart et Evans (les deux médecins) sont assis sur le plateau dans deux fauteuils. Stuart annonce le propos du film : discuter franchement du développement sexuel et des interrogations normales des enfants. L’inconfort chez les spectateurs est compréhensible mais doit être surmonté. S’ils sont attentifs, les parents pourront élever correctement leurs enfants et leur assurer un rapport sain et responsable à la sexualité. Le ton est grave, sérieux, la gêne des parents est présentée comme contraire au bien-être de l’enfant. La caméra recentre sur Stuart. Celui-ci présente les objectifs du programme. D’abord identifier les comportements empêchant le développement d’un rapport sain à la sexualité, ensuite comment présenter la sexualité aux enfants de manière appropriée. Stuart ponctue l’intervention, ce programme est une chance à saisir pour la génération des parents actuels qui n’a pas pu bénéficier de tels conseils. Plans successifs sur une femme puis un homme, puis une femme (des acteurs). Ils appuient le propos de Stuart, posent des questions afin de favoriser l’identification du spectateur : « je n’ai jamais eu une assez bonne compréhension moi-même pour pouvoir expliquer les choses », « je ne saurai pas à quel âge commencer, quand devrais-je commencer ? », « lorsque mes enfants m’interrogent j’ai des papillons dans le ventre, je suspecte que c’est aussi le cas de mon mari […] ; il évite cette discussion comme la peste ». On remarque que le choix des mots traduit tout à la fois l’inconfort, la préoccupation, le désemparement, l’isolement et le manque de vocabulaire des principaux intéressés lorsqu’il s’agit de sexualité. Stuart dissipe une part de ses angoisses : les parents ne peuvent tout simplement pas agir comme ils le devraient. Leur éducation a érigé la sexualité en tabou. La caméra se rapproche du visage de Stuart. Les conséquences de cet état de fait sont graves. Le refus des parents pousse l’enfant à chercher des réponses ailleurs, de mauvaises réponses. La rupture de la communication n’est pas définitive, ici Stuart s’adresse en fait aux parents spectateurs ayant déjà été confrontés aux interrogations sexuelles mais n’ayant pas eu les bons réflexes. Néanmoins, on envisagera en premier lieu les futurs parents susceptibles d’établir dès la petite enfance un dialogue responsable et sain sur la sexualité. (03:08)

Les interrogations infantiles : le rapport au corps et à la grossesse de la mère

La séquence suivante est une fiction. Une fillette de 4 ans, nous dit la voix off de Stuart, est assise sur ce qui tient lieu de table d’examen chez son médecin. La mère enceinte est assise en face du médecin. Ce dernier interroge la petite : que va-t-il se passer chez toi ? Où est le bébé ? Comment peux-tu savoir qu’il est dans le ventre de ta mère, l’as-tu senti, quelles parties ? La petite répond avec le sourire tranquillement, lorsque le médecin l’interroge sur la date de l’arrivée du bébé, elle ne sait pas répondre. Elle se tourne alors vers sa mère. Cette dernière lui explique que le bébé arrivera le mois prochain, ce que la fillette s’empresse de répéter au médecin. Ce dernier est ébahi par la facilité avec laquelle Shirley répond à ces questions. La mère explique qu’elle ne se voyait pas éviter la question, ou être trompeuse. Répondre honnêtement, c’est associer Shirley à la perspective réjouissante de la naissance d’un nouvel enfant.

La reconnaissance des interrogations de Shirley est appuyée par la composition de la scène. La fillette est au centre de la scène, assise sur la table ce qui la met au même niveau que les adultes, peut-être même plus haut. « Quelles seront les prochaines questions de Shirley ? » « Comment le bébé est sorti puis comment il était entré en premier lieu », répond la mère avec un léger soupir, mais aussi le sourire. Le jeu d’acteur permet d’appuyer l’idée que ces interrogations normales pour l’enfant n’en sont pas moins difficiles pour les parents, même les mieux attentionnés. Un cut nous ramène sur le plateau, Stuart souligne la banalité factuelle des interrogations de Shirley. Elles ne traduisent pas un intérêt pour la sexualité, mais reflète simplement la conscience que l’enfant a de son environnement tangible (le ventre de la mère). Les questions sur l’accouchement et la fécondation sont plus difficiles cependant.

La scène suivante se déroule dans une cuisine. Marie, une enfant d’environ 6 ou 7 ans, interroge sa mère. Comment Johnny a-t-il pu sortir du ventre de sa mère et ensuite comment y était-il entré, par son nombril ? La mère, qui s’est assise face à sa fille afin de prendre le temps de bien lui répondre, lui explique à l’aide geste qu’en grandissant son vagin, va se développer et pourra se dilater afin de laisser passer le corps d’un nouveau-né. La fécondation est ramenée à l’introduction du pénis, que la petite a pu voir lorsque sa mère changeait la couche de son frère, du garçon assez âgé et prêt pour devenir père, dans le vagin, « l’ouverture spéciale des mères ». La mère propose d’illustrer son propos en invitant la petite à observer l’accouchement Tabby, la chatte de la famille. Le spectateur est ramené sur le plateau par un fondu. Stuart souligne que la question de « l’entrée du bébé dans le ventre de la mère » est probablement celle qui inquiète le plus les parents. Le jeu d’actrice semble essayer de traduire cette gêne, les réponses sont claires, directes et sans affect. Ce qui contraste avec la scène précédente à l’ambiance plus chaleureuse. Ces interrogations ne traduisent cependant pas chez l’enfant un questionnement d’ordre sexuel. Des réponses concrètes et factuelles sont donc tout à fait suffisantes pour épuiser sa curiosité. Le problème n’est pas la curiosité des enfants pour la fécondation et la naissance, mais la gêne des parents vis-à-vis du sexe. Le propos est appuyé par une suite de plan montrant un bambin en train de jouer tour à tour avec un réveil, puis de griffonner un papier. Cette manifestation de curiosité est plutôt bien perçue. Mais lorsque l’enfant joue avec son pénis, c’est également une curiosité naturelle tournée vers soi. Le mouvement de la caméra faisant entrer la tête du petit garçon dans le champ, appuie ce propos.

Stuart reprend. Toutes ces manifestations de curiosité sont naturelles, elles doivent d’être satisfaites, autant de fois que nécessaire. Même s’il est probable que l’attention se portera vite sur autre chose. Si ces interrogations ne se manifestent pas avant 7 ou 8 ans, alors peut-être que les parents devront prendre l’initiative. (08.50)

Les réactions des parents face à la masturbation 

La masturbation, nous dit Stuart, est pratiquée par presque tous les garçons et un grand nombre de filles. « Laissez-moi faire une déclaration claire, concise et scientifique : la masturbation n’est pas nocive […] ; elle est un moyen commun de relâcher sa libido après la puberté ». Alternativement, les garçons peuvent également avoir des émissions nocturnes, dites « rêves humides ». Les fantasmes et rêves érotiques se manifestent à l’occasion de la masturbation, mais il se peut que le garçon ressente de la honte. Dans ce cas, les parents doivent rassurer leur adolescent, la masturbation, ou l’émission, est normale et sans danger ; elle devrait être regardée comme une phase transitoire vers l’âge adulte. Les parents qui diabolisent la pratique de la masturbation en ajoutant la terreur au sentiment de honte sont coupables de quelque chose de très grave. Le ton est grave et péremptoire : de tels parents devraient avoir honte. Les a priori négatifs constituent le vrai danger ; or, ils sont forgés dans l’enfance.

Le film enchaîne par des saynètes montrant des parents empêchant de jeunes enfants d’explorer leur corps. Les parents associent la parole humiliante au geste. Des gros plans sur les visages des parents assénant leur jugement renforcent l’idée que ces paroles anodines sont en fait empreintes d’une grande violence. Ces attitudes nocives vont enraciner un tabou sexuel. Celui aura des conséquences à l’adolescence voire à l’âge adulte, reproduisant le traitement qu’à reçu les générations précédentes. Un nouveau personnage apparaît, est-ce un acteur ou un véritable patient de Stuart ? C’est un adolescent qui se sent coupable de se masturber. Le médecin le rassure, le déculpabilise, il n’est pas responsable de ce ressenti comme une faute, on l’a ancré chez lui. Le médecin conclut qu'une vie sexuelle épanouie rend le mariage plus heureux, et les parents peuvent aider leurs enfants à atteindre cet objectif en adoptant les bonnes attitudes. (12.56)

L’adolescent et ses problèmes : la taille du corps, la taille du pénis.

Deux adolescents sont dans les vestiaires, ils se changent, l’un se plaint d’être trop petit, l’autre explique qu’il est complexé par la taille de son sexe. Retour sur le plateau, Stuart est désormais accompagné par Evans. Ce dernier met en garde contre la persistance du sentiment d’infériorité qu'éprouve un individu à cause de la taille de son sexe si ce sentiment s’enracine au moment de l’adolescence. Les parents doivent rassurer leurs garçons sur leur physique, notamment sur la taille de leur sexe. (14:49)

L’adolescente et ses problèmes : flirter ou ne pas flirter ?

Plan dans un salon, deux adolescentes (Cherry et Patty) discutent durant une soirée pyjama. La première raconte une histoire désagréable. Elle s’est rendue à rendez-vous avec un garçon arrangé par leurs mères respectives. L’autre fille lui répond qu’à l’inverse, elle n’a pas le droit d’avoir de rendez-vous avec les garçons. Retour sur le plateau, Evans critique le monde de la publicité stimulant la sexualité. Il s’agit d’un leurre mercantile encourageant une compétition et un rythme artificiel angoissant pour les enfants et les parents. Retour au salon : Patty se désespère, elle ne peut accepter les rendez-vous du garçon qui lui plaît, sa famille ne l’autorisera jamais. Elle en est réduite à mentir pour refuser ses propositions. Cette situation l’agace, la tentation de désobéir est grande. Stuart explique que le développement de chaque adolescente a son propre rythme : il ne faut ni trop les pousser, ni trop les décourager. Il faut dialoguer, prendre des décisions en commun, a minima écouter son adolescent. Sinon, les parents s’exposent à une rébellion. (18:56).

Les menstruations : une éducation de bien meilleure qualité qu’auparavant 

Le plateau est désormais occupé par Evans et une femme appartenant à la génération des grands-parents des spectateurs. Elle raconte qu'au moment de ses premières menstruations, elle ne reçut aucune aide, aucun conseil de sa mère. Cette expérience traumatisante, dont la cause est l’ignorance, la convainquit qu’elle ne laisserait jamais une telle chose arriver à sa propre fille. Evans se veut rassurant et optimiste, aujourd’hui ce genre de chose n’arrive plus ou rarement, le sujet n'est plus tabou. Les parents sont encouragés à aborder le sujet avant que le programme d’éducation sexuelle de la sixième classe ne s’en charge. Plan sur une petite fille, d’environ dix ans, dans sa chambre écoutant la radio. La mère rentre ; elle a fait des courses qui comprennent des serviettes. La mère explique, à l’aide de l’image du nid,que le cycle de renouvellement de la paroi utérine. L’enfant semble effrayé : cela fait-il mal ? Normalement non, lui répond la mère. Evans commente en s’adressant aux spectateurs. Il faut adapter le discours aux enfants, toujours être ouvert pour permettre de maintenir le dialogue pour plus tard. L’explication est mise image à travers une animation du cycle menstruel, sans doute tirée d’un cours d’éducation sexuelle. Le vocabulaire est plus scientifique, il s’agit d’expliquer des contenus essentiels à des parents qui n’ont pas forcément eu accès à ces informations. Evans est rejoint sur le plateau par une jeune femme, sans doute dans la vingtaine. Il l’interroge sur ses connaissances en matière de menstruations. Elle a pu recevoir des instructions par sa mère, aide fréquente mais pas systématique durant sa génération. Selon elle, l'information sexuelle à l’école était trop édulcorée ou au contraire trop factuelle. Cette dernière remarque fait écho aux premiers développements de Stuart. On est bien dans la recherche d’une information utile dont on sait avoir besoin et que les programmes ne fournissent qu’imparfaitement, voire pas du tout. Dans sa génération, il reste de nombreuses superstitions à écarter (possibilité de porter un tampon sans être mariée, ne pas se laver, prendre un bain,…). Les menstruations sont-elles une nuisance, demande Evans ? Pas vraiment sauf en cas de crampe. Il faut alors aller consulter. (26.38)

Conclusion

L’éducation sexuelle est difficile pour les parents du fait de leur vécu et de leur manque d’information. La science peut les aider en leur donnant des connaissances et des méthodes pour aborder le sujet. La base est scientifique, les explications doivent commencer tôt dit Evans. Stuart ajoute : les parents veulent assurer une existence heureuse à leur enfant ; pour cela, il faut de la bienveillance, de l’honnêteté et de la compréhension dès le plus jeune âge. Les problèmes liés au sexe concernent une problématique plus grande, la communication parent-enfant. (27:54)

Carton qui indique une intervention supplémentaire, celle de Mary S. Calderone, responsable d'un organisme éducatif : " Introducing, Mary S. Calderone, M.D, Executive Director of SIECUS-The Sex Information and Education Council of the United States."

Mary S. Calderone filmée en plan d'ensemble, assise sur une chaise, regarde la caméra. « Que dit vraiment ce film ? », interroge-t-elle. Premièrement, le sexe est normal et fait partie de la vie de tous dès l’enfance. Deuxièmement, les manifestations de la sexualité à tout âge doivent être regardées avec bienveillance et compréhension. Les enfants doivent pouvoir obtenir des informations de qualité de leur parent et surtout, se voir accorder de la confiance. Plus important encore, les parents doivent montrer l’exemple en s’aimant. Ici, on retrouve l’objectif à long terme véhiculé par le discours du film sur la sexualité. L’objectif est de fonder une famille au sein d’un couple marié, et de faire en sorte que les enfants deviennent les adultes que l’on veut qu’ils soient, nous dit Mary. S. Calderone. La véritable éducation sexuelle commence avec les rendez-vous adolescents, il faut les préparer à devenir matures et responsables pour être heureux en mariage et en famille.

Notes complémentaires

Références et documents externes

PENLAND Lynn R., « Sex education in 1900, 1940 and 1980, An Historical Sketch », The Journal of School Health, n°51(4),1981, p305-309.

Contributeurs

  • Auteurs de la fiche : Hypolite Spitz