Première partie
La peur du mal
La première partie du documentaire est entièrement consacrée aux malades et aux mourants. Le film s'ouvre sur une série de malades atteints de la tuberculose. Le documentaire met en avant le fait que la maladie touche toutes les classes sociales. Ouvriers, employés, femmes de ménage et cadres, tous doivent se sentir concernés. Afin de faire prendre conscience à la population du danger de la tuberculose, un enterrement et un cimetière montrent qu'il n'y a pas d'espoir lorsqu'une personne est atteinte de tuberculose. Pourtant, des centres spécialisés existent. En fournissant un accompagnement aux malades, ils permettent de ralentir la maladie et parfois de la guérir. Sur plusieurs plans, le réalisateur met en avant la prévention sur la maladie, les auscultions des médecins sur les patients atteints ou non de la maladie.
La comparaison entre campagne et villes
Le documentaire montre ensuite les bienfaits de la campagne et de son air frais sur la maladie et la compare avec la ville et ce qu'elle peut engendrer. En effet, à cause d'une plus forte précarité, de l'alcool et d'autres mauvais facteurs, le risque tuberculeux y est plus fort que dans les campagnes.
Les tests sur animaux
Le vaccin BCG a déjà fait ses preuves dans divers pays, en Suède notamment. En Algérie comme dans le reste de la France, c'est aux bovins, décimés par cette maladie, qu'a d'abord été inoculé le vaccin qui les atteint tout autant que les humains. Après quelques essais les chercheurs ont constaté une baisse effective de la propagation de la maladie, donnant ainsi de très bons espoirs pour les humains.
Deuxième partie
Les dépistages
La seconde partie du documentaire met en avant la campagne de vaccination qui a eu lieu en Algérie. En ville, les habitants peuvent aller chez leur médecin et dans les hôpitaux pour procéder à un dépistage de la maladie. Pour les enfants de bas âge, des timbres de tuberculine sont imposés sur leur corps. Pour les plus grands, une simple injection détectera ou non la présence de la tuberculose. Si, au bout de trois jours après l'application du sérum, l'enfant n'a aucune réaction cutanée, il a besoin d'être vacciné. Si au contraire l'enfant a eu une réaction, il n'est pas nécessaire d'effectuer une vaccination.
La vaccination dans les campagnes
L'accès aux hôpitaux et aux médecins n'est cependant pas facile pour tous. C'est pourquoi une campagne mondiale de vaccination préventive a été lancée par l'ONU. Des caravanes de « Lutte pour la Vie » circulent à travers la campagne et vont dans les villages les plus reculés. Infirmiers et médecins y effectuer les tests de dépistages et les vaccinations.
Des enfants en bonne santé
Le documentaire insiste sur le fait qu'un homme meurt toutes les 7 secondes dans le monde à cause de la tuberculose : la vaccination préventive est nécessaire. En ville, dans les écoles et les usines d'Algérie, le dépistage et la vaccination sont obligatoires. Le documentaire montre des enfants en pleine santé, souriant et heureux. Cette dernière image a pour but d'inciter les parents à emmener leurs plus jeunes enfants se faire dépister.