L'accouchement sans appréhension (1954)
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Sommaire
Générique principal
Gén. début : Prophylaxie anténatale des douleurs à type spasmodique au cours de l'accouchement (application de la méthode Read). Ce film est destiné aux consultations prénatales des Maternités pour contribuer à la préparation éducative de l'accouchement naturel / par le Dr. Armand Notter avec la collaboration du Dr. Frédéric Charvet / travail de la clinique obstétricale (Professeur H. Pigeaud) - Université de Lyon / Réalisation : Éric Duvivier - Dessins animés : Dr. Claude Millet / Séquence gymnique tournée à la maternité Pinard - Service du Pr. ag. Lepage - Hôpital St Vincent de Paul / sous l'égide de l'Administration Générale de l'Assistance Publique - Paris / Production : Films Art et Science
Contenus
Thèmes médicaux
- Physiologie. Physiologie humaine et comparée
- Reproduction. Croissance. Développement
- Gynécologie. Obstétrique
Sujet
Prophylaxie anténatale des douleurs à type spasmodique au cours de l'accouchement.
Genre dominant
Résumé
Une femme qui vient d'accoucher selon "La méthode Read" témoigne devant son amie de son expérience. Le film restitue ensuite et développe le cours donné par un médecin accoucheur, auquel cette femme a assisté avec d'autres femmes enceintes. Il montre comment le spectacle social peut agresser la femme enceinte et provoquer chez elle des spasmes. Le film évolue ensuite vers la description de son accouchement.
Contexte
Une contractualisation d'Art et Science avec la Faculté de médecine de Lyon
En février 1954, le docteur Armand Notter à Lyon signe une convention de coproduction avec la société d’Éric Duvivier pour réaliser sous sa direction médicale et dans la clinique obstétricale de la faculté de médecine de Lyon du professeur Pigeaud un film consacré à la « prophylaxie anténatale des douleurs à type spasmodique au cours de l’accouchement ». Le dossier de production fait état d'un titre initialement prévu : Film consacré à la prophylaxie anténatales des douleurs à type spasmodique au cours de l’accouchement. Le film s’appela finalement L’accouchement sans appréhension. Dans ces cas de production professionnelle de films d’enseignement « purs » – i.e. sans financement industriel – le coût de production, assumé par le médecin, est adapté (diminué de moitié environ, 150.000 Frs anciens ici) et en contrepartie le médecin doit apporter son travail d’écriture, le « scénario médical », et de préparation des prises de vue, de figurations et de dessins animés. Pour ces « films d’auteurs médicaux » et non de commande publicitaire, Éric Duvivier accorde, outre le rabais sur le prix de production, plus de latitude pour la rédaction du générique concernant les personnes ayant participé, et l’auteur dispose d’un droit de veto sur la sortie du film. Il considère que la part coproductrice du médecin correspond au tiers de l’ensemble des frais du film et de ce fait il consent à ce qu’un tiers des recettes de la distribution lui revienne en retour. La distribution du film est assurée par les Films Art et Science sans intervention ou restriction de la part de l’auteur médecin.(Archives Duvivier, DHVS, Dossiers conventions). Cf. Christian Bonah. ”Réservé strictement au corps médical” : les sociétés de production audiovisuelle d’Éric Duvivier, l’industrie pharmaceutique et leurs stratégies de co-production de films médicaux industriels, 1950-1980. Cahiers d’histoire du Cnam, 2019, Le cinématographe pour l’industrie et dans les entreprises (1890-1990), vol.12, pp.133-158.
La méthode Read
Le film promeut une méthode éclose en Grande Bretagne après la Seconde Guerre Mondiale. Depuis 1847, date de la première application de l’anesthésie au soulagement des parturientes, seules l’analgésie médicamenteuse ou différentes formes d’anesthésies étaient proposées. Dans les années 1930 en Angleterre est mise au point une première méthode psychologique d’atténuation des douleurs obstétricales, dite accouchement « naturel », due à Grantly Dick-Read (1890-1959) qui est accoucheur à Woking dans la banlieue de Londres de 1923 à 1948. Observant les femmes en travail et étudiant des pratiques médicales variées (Franz Anton Mesmer, Jean-Martin Charcot, Émile Coué), il construit peu à peu une méthode d’accouchement « sans peur », fondée sur la conviction que, dans certaines circonstances, l’esprit peut commander au corps. En 1933, dans son premier ouvrage Natural Childbirth, il condamne l’accouchement « scientifique » sous anesthésie générale, largement pratiqué de son temps dans les pays anglo-saxons, et propose l’accouchement « selon la loi naturelle ». Pour cela, il faut briser le cycle fatal Peur-Tension-Douleur : la peur entraîne une tension des muscles, en particulier de l’utérus, et c’est ce qui cause la douleur. Pour atténuer la douleur, il faut d’abord supprimer la peur en préparant la femme qui va accoucher. Après avoir été instruite des différentes phases du travail, elle doit faire preuve pendant la phase de dilatation de patience et de contrôle de soi grâce à la pratique de la relaxation. Au moment de l’expulsion du fœtus, elle doit être capable de fournir un gros effort physique auquel elle aura été préparée. Le fondement de la méthode de Dick-Read est un spiritualisme qui exalte la fonction reproductive de la femme. En changeant les conditions de la venue au monde de nouveaux humains, il espère faire triompher la paix et l’harmonie sociale. (d'après Paula A. Michaels, Lamaze. An International History, Oxford University Press ; Andrée Rivard, Histoire de l’accouchement dans un Québec moderne, Les éditions du remue-ménage)
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Oui.
- Cartons : Oui.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Fiction et didactisme
La réalisation combine plusieurs registres complémentaires pour sensibiliser et éduquer son public. D'une part, elle assume une enveloppe fictionnelle à son exposé pour pouvoir rendre celui-ci plus attractif et accessible. D'autre part, elle introduit dans son récit un cours donné par un médecin-accoucheur, lequel est illustré par un schéma animé. Quand le schéma animé intervient, il fait suite à un plan où le médecin dessine au tableau : le dessin s'anime, la transition se fait entre un régime de prises de vues réelles et un régime d'animation. Le film perd alors son réalisme (puisque les femmes qui écoutent le médecin le voient entrain de dessiner, elles ne peuvent voir elles-mêmes le dessin animé qui suit) pour augmenter en didactisme en optimisant les ressources audiovisuelles disponibles. Par ailleurs, ce changement de régimes vise à impliquer directement le public après l'avoir invité à se projeter dans le personnage de la jeune maman. Le film étant transitif quand il fictionne (procédé qui reprend avec la séquence de la femme enceinte dans la rue), transitif quand il explique, il mobilise tour à tour l'émotion et l'intelligence auprès de son public. Cette démarche hérite, en ce qui concerne la production utilitaire en santé, de Falsche Scham de Rudolf Biebrach (G. 1926), La terrible leccion par Fernando Delgado (ES., 1926), ou Il était une fois trois amis de Jean Benoit-Lévy (FR. 1929).
En attendant Opéra mouffe d'Agnès Varda (1958)
la troisième séquence d'Accouchement sans douleur montre une femme enceinte évoluer dans les rues d'une grande ville. La densité du trafic, les sollicitations multiples de la ville, et surtout, les titres de la presse qu'elle regarde affichés dans un kiosque à journaux la remplissent d'anxiété. Cette scène étonnante, qui établit un lien entre la santé et l'environnement social et communicationnel, annonce le court métrage Opéra mouffe d'Agnès Varda, film subjectif qu'elle réalise au moment où elle est enceinte. Elle y montre la vie ordinaire de la rue Mouffetard, non comme une simple saynète parisienne, mais comme un miroir qui lui est tendu : le spectacle de la misère sociale, de simples incidents comme une citrouille que l'on tranche sur un étal de légumes la renvoyant aux appréhensions et aux fantasmes d'une nouvelle sorte qui éclosent dans son esprit depuis qu'elle attend un enfant.
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
La médecine joue ici un double rôle : assister l'accouchement en allégeant la souffrance, et éduquer les femmes pour les émanciper. Dans le film, la médecine ne se limite pas à mettre en oeuvre le savoir qu'elle détient, elle associe à son action les femmes sur lesquelles elle intervient. Par leur comportement, que détermine la connaissance qu'elles ont acquise de leur corps et des gestes qui conviennent, les femmes enceintes deviennent les partenaires du soin.
En ce sens, l'approche défendue dans L'accouchement sans appréhension rejoint celle des films de Max Ploquin qui vont lui succcéder dans les années 60 et 70. Max Ploquin y ajoute l'implication du mari et jeune mari, montrant qu'il assiste à l'accouchement et réconforte sa femme après la naissance.
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Congrès médicaux, réunions de femmes enceintes.
Communications et événements associés au film
Public
Professionnels en santé, femmes enceintes.
Audience
Descriptif libre
"J'ai contrôlé moi-même chaque moment"
Musique classique doucereuse. Gros plan sur un bébé qu'une femme tient dans ses bras. Commentaire : "dans une maternité moderne, depuis quelques temps, c'est journellement qu'on peut assister la scène suivante". Dézoom, nous voyons une femme alitée dans une chambre d'hôpital, nous devions que c'est la mère du bébé. Assise à son chevet, une autre femme cajole le bébé. Voix off qui est celle de sa mère - ici, et de façon générale dans le film, les voix correspondant aux personnages filmés sont post-synchronisées (de façon plus ou moins heureuse selon le personnage) : "Je suis heureuse, tu sais, tout s'est si simplement passé. J'ai contrôlé moi-même chaque moment de mon accouchement." Cette réplique témoigne de l'intention féministe de la réalisation, laquelle fait écho aux films sur l'accouchement sans douleur de Max Ploquin. Il s'agit de faire en sorte que la parturiente soit une actrice consciente de chaque étape de son accouchement, qu'elle puisse le contrôler et se l'approprier grâce à elle-même et le savoir que la science médicale lui prodigue par l'intermédiaire du médecin-accoucheur qui l'accompagne. une infirmière entre dans la pièce, la mère lui confie le bébé. Celle-ci reprend : "toute une organisation m'avait préparée, j'étais moralement entraînée et je n'ai trouvé que compréhension auprès des sage-femmes, infirmières, monitrices, éducatrices... Enfin, j'avais attentivement suivi les explications du médecin accoucheur..." (01:17)
Trois femmes en manteau se tiennent côte à côte entre un rideau et une table. L'air attentive, elles regardent hors champ. Nous devinons, par le raccord avec la réplique précédente, que le médecin accoucheur est la personne vers laquelle leur regard se dirige. Au plan suivant, GP sur lui. Quoique le raccord regard ne fonctionne pas du tout entre lui et elles, nous devinons que cette nouvelle séquence consiste en un champ (les femmes) - contrechamp (le médecin). Le médecin explique que l'accouchement doit être préparé. Il consiste en deux parties : "la dilatation sous l'action de la matrice ou muscle utérin et l'expulsion qui comportent de véritables exercices musculaires." Comme le médecin emploie la métaphore de l'entraînement nécessaire pour jouer au basket, le film montre trois jeunes filles pratiquant ce sport sur un terrain en plein-air. Par cette petite séquence qui les montre agiles à ce jeu, le film défend à nouveau un point de vue féministe qui consiste à promouvoir la pratique du sport et de tous les sports par les femmes au même titre que les hommes.
Un cours d'éducation populaire par le médecin accoucheur
Le médecin continue par une explication sur la préparation à l'accouchement qui suppose de pouvoir "équilibrer le système nerveux". Il se retourne vers le tableau noir devant lequel il se tient, s'empare d'une craie et commence à dessiner. Aussitôt commence une séquence de dessin animé. Sur un même fond noir, un point bleu apparaît, qui évolue un trait, lequel forme le contour d'une femme enceinte de profil. Voix off du médecin qui situe la matrice dans le petit bassin: "ce muscle va se développer au contact de l'oeuf qui grandit à l'intérieur." Il évoque ensuite la moelle épinière qui met en contact le muscle avec le cerveau. Le dessin animé suit ses explications, localisant la matrice et la moelle épinière à l'intérieur de la silhouette de la femme." On conçoit combien il est nécessaire qu'il existe une harmonie contractile au niveau de ce muscle". Il faut donc protéger cette harmonie en se prémunissant des spasmes. (03:10)
La femme enceinte en ville : une expérience d'ultrasensibilité aux signaux sociaux
Vue générale en plongée sur un trafic de métropole. Densité du trafic et de la signalétique dans un environnement profus en informations. En angle plat, plan plus rapproché sur des personnes, groupées sur un trottoir, qui traversent ensemble un passage piéton à la faveur d'un feu de circulation qui a immobilisé le trafic. Nous reconnaissons dans ce groupe la femme que nous avons vu au début du film. C'est un flash back, elle est enceinte. Commentaire : "Notre système nerveux est secoué par des émotions quotidiennes mais il est surtout surmené par l'ambiance constante d'agitations et de bruits." Léger pano de recadrage pour suivre la femme évoluant sur le trottoir qu'elle a rejoint et qui se dirige vers un kiosque à journaux. Elle regarde avec une expression de vive préoccupation les unes affichées. Celles de deux magasines de santé sont respectivement titrées "Fumer est un suicide" et "Soigner vos varices". On aperçoit un autre journal qui titre sur l'Abbé Pierre (nous sommes en 1954, l'année de son appel à la solidarité pour les sans abris). Commentaire : "Préoccupée par la vie qu'elle porte en elle, la femme enceinte perçoit comme des chocs les impressions diverses créées autour d'elle par la presse si abondamment libre actuellement. Elle rejoint une boutique de vente d'appareils audiovisuels. "... par la radio et la télévision, enfin par les conversations directes." Dans un salon de coiffure, la femme est assise et se fait coiffer. Là encore, elle affiche un visage contrarié. La coiffeuse entre en conversation avec elle, son récit, qui a sans doute trait à un accouchement, provoque chez elle un comportement agité. Commentaire : " D'autant plus qu'une curiosité inquiète la pousse à s'informer. Les tares pathologiques les plus exceptionnelles lui sont parfois décrits avec complaisance. Des récits déformés, des exagérations invraissemblables créent chez elle la phobie des enfants mal formés ou morts. Cette appréhension croît à mesure que son terme approche." (04:34)
Des examens pour suivre et rassurer
Façade d'un bâtiment hospitalier récemment construit, des hommes en blouse blanche descendent le perron en discutant. Le commentaire poursuit en affirmant que les angoisses de la femme enceinte peuvent être tempérées par des examens réguliers. Dans une salle de dispensaire, la femme enceinte que nous voyons depuis le début du film en suit une série : analyse d'urine, pesée, examens médicaux et obstétricaux, et "à chaque étape de la grossesse, prise de la tension artérielle afin de vérifier l'état vasculaire". S'ensuit le relevé de chaque étape de la croissance de l'enfant. Nous voyons l'examen gynécologique par un plan d'ensemble en légère plongée où la femme allongée sur le dos se présente tête première à la caméra, si bien que le pan de sa jupe relevée dissimule les mains du médecin. Ecoute du coeur puis analyse de planche radiographique : c'est à présent l'intérieur du corps qui est à la fois observé et rendu perceptible à la femme enceinte. (06:20)
Stérilisation et asepsie
"L'organisation des salles d'accouchement doit aussi vous inspirer confiance". Sur un plan de médecin se lavant les mains avec soin, comme avant tout acte chirurgical, à un lavabo de salle d'opération, le commentaire insiste sur la stérilisation de l'équipement. L'inscription 'Eau stérile' sur le carrelage qui recouvre le mur où le lavabo est installé fait écho au commentaire. Comme elle apparaît à l'envers sur l'image, il est à gager que le plan a également été monté à l'envers. La séquence se poursuit sur l'asepsie de l'équipement. "Gants et masques stériles, ampoules antispasmodiques, antibiotique, matériel de perfusion sanguine... grâce à tout cela, l'infection puerpérale est maintenant rayée des maternités." (07:15)
L'expulsion du bébé : schéma animé et "live"
Schéma animé pour expliquer l'expulsion du bébé. Le commentaire s'adresse au public, il s'agit donc des femmes enceintes. Il les enjoint de bien écouter les instructions au moment de la sortie de la tête (ici montrée en prises de vues réelles, GP) : "Respirez très court, relâchez-vous, gardez surtout bien votre contrôle, ouvrez bien vos yeux. Poussez doucement, relâchez-vous..." Ces instructions sont données avec les images correspondantes : "Respirez très court (la tête du bébé apparaît), relâchez-vous, gardez surtout bien votre contrôle, ouvrez bien vos yeux (la main du médecin accoucheur apparaît dans le champ et saisit le haut de la tête). Poussez doucement, relâchez-vous (le reste du corps est en train de sortir). Détendez-vous bien... là, c'est fini! (le bébé est tout à fait expulsé)." Un cri de nourrisson retentit dans la bande son comme le bébé est à présent présenté à l'envers à la jeune maman dont le visage souriant et contemplatif se voit dans la profondeur de champ. Section du cordon... "Et bébé part pour la vie".
"Avec les autres mamans, nous avons été récompensées de nos efforts..."
Reprise de la fiction avec la jeune maman et son amie qu'on voyait au début du film, à présent réunies sur le banc d'un parc. Une infirmière vient reprendre à la mère son bébé pour l'emporter hors champ. "Je peux te dire tout le bien que je pense de cette préparation à l'accouchement dont j'ai bénéficié." Gros plans sur plusieurs bébés alités, en plein sommeil. "Je pars de cette maternité aussi confiante que j'y suis entrée. Avec les autres mamans, nous avons été récompensées de nos efforts par les mines si expressives de nos premiers nés". Le "nous" employé exprime le sentiment de solidarité qui unit les différentes femmes qui ont accouché, femmes d'une nouvelle génération qui vit différemment, grâce à l'évolution des méthodes d'accompagnement médical, l'étape de la naissance de l'enfant. La musique doucereuse qui baignait la première séquence reprend sur ces derniers plans. Carton sur un dernier cri de bébé : "Fin - Film Art et science"
Notes complémentaires
Fonds Duvivier 095
Références et documents externes
Bulletin de psychologie, année 1963, n°16, p. 521-523, Armand Notter, "Compte-rendu sur le Premier Congrès international de médecine psychosomatique (Paris, 8-12 juillet 1962)".
Christian Bonah. ”Réservé strictement au corps médical” : les sociétés de production audiovisuelle d’Éric Duvivier, l’industrie pharmaceutique et leurs stratégies de co-production de films médicaux industriels, 1950-1980. Cahiers d’histoire du Cnam, 2019, Le cinématographe pour l’industrie et dans les entreprises (1890-1990), vol.12, pp.133-158.
Paula A. Michaels, Lamaze. An International History, Oxford University Press ; Andrée Rivard, Histoire de l’accouchement dans un Québec moderne, Les éditions du remue-ménage
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Joël Danet