Infirmières vingt quatre heures sur vingt quatre (1995)
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Main credits
réalisation : Jean-François Gauthier / journaliste : Jean François Delassus / présentation : François de Closets, Martine Allain-Regnault / participants : Renée Fagon (CHU de Brest), Antoine Bourillon (Hôpital Robert Debre)
Content
Theme
Main genre
Résumé
Cette émission rends hommage à la profession d'infirmier, par le biais de témoignages et de reportages qui couvrent les différentes "catégories" d'infirmiers et d'infirmières.
Context
Structuring elements of the film
- Reporting footage : Yes.
- Set footage : Yes.
- Archival footage : No.
- Animated sequences : No.
- Intertitles : No.
- Host : No.
- Voix off : No.
- Interview : No.
- Music and sound effects : No.
- Images featured in other films : No.
How does the film direct the viewer’s attention?
How are health and medicine portrayed?
Broadcasting and reception
Where is the film screened?
Presentations and events associated with the film
Audience
Télévisuel
Local, national, or international audience
Description
Cette émission rends hommage à la profession d'infirmier, par le biais de témoignages et de reportages qui couvrent les différentes "catégories" d'infirmiers et d'infirmières. Les sujets abordés sont : qualités nécessaires au métier d’infirmière ; formation des infirmières qui sont amenées à travailler en équipe ; faible pourcentage d’hommes dans la profession ; absence trop fréquente des médecins lors des nuits ; tâches d’une aide-soignante ; infirmières parfois trop "techniques" et pas assez "communicatives" et proches de leurs patients... Sont aussi diffusés des reportages : - Service de pédiatrie de l’hôpital Robert Debre à Paris : bains pour enfants, soins, câlins - A l'Hôtel Dieu de Paris, sont suivies les activités journalières de Carole et Sophie, infirmières. 2/3 du temps est consacré aux soins, le reste à la gestion des feuilles de soin. Elles s’occupent d'un clochard (4 g d'alcoolémie), d'un forcené (section médico-judiciaire de l'hôpital), d'une vieille dame. - Paul, infirmier de nui au service de cancérologie de l'hôpital Saint Louis à Paris. Il fait le tour des chambres où les malades souffrent, mais qui trouvent dans les infirmiers un soutien moral qui fait parfois plus que les médicaments (certains patients en témoignent). - Marie-Gabrielle, infirmière libérale effectue sa tournée de patients à Lyon : vieux couple, personne âgée, jeune homme handicapé. Elle est souvent leur seule visite de la journée, ici, l'écoute est plus importante que la piqûre. A la sauvette, elle donne des seringues à un toxicomane local.