SIDA (1987)
SIDA
| |
---|---|
Title | SIDA |
Year of production | 1987 |
Country of production | France |
Director(s) | |
Scientific advisor(s) | |
Duration | 62 minutes |
Format | Parlant - Noir et blanc - 8 mm |
Original language(s) | French |
Production companies | Antenne 2 |
Archive holder(s) | Institut Pasteur |
Main credits
Content
Theme
Main genre
Synopsis
Context
Structuring elements of the film
- Reporting footage : Yes.
- Set footage : No.
- Archival footage : Yes.
- Animated sequences : No.
- Intertitles : No.
- Host : Yes.
- Voice-over : Yes.
- Interview : No.
- Music and sound effects : Yes.
- Images featured in other films : No.
How does the film direct the viewer’s attention?
How are health and medicine portrayed?
Broadcasting and reception
Where is the film screened?
Presentations and events associated with the film
Audience
Local, national, or international audience
National
Description
- La musique qui suit est de Klaus Nomi « cold song » qui sonne fataliste et ce juste après qu’une femme dise qu’il faudrait une émission sur le Sida. - Présentation des intervenants - Témoignage d’une famille dont même l’enfant est touché par la maladie. A ce moment-là le spectateur devient concerné également car il voit dans cette situation sa propre famille. - Chanson « vouloir aimer », qui détend l’atmosphère pesante qui s’est installée - Intervention d’un spécialiste anglophone traitant des recherches qui montre un aspect internationale de la maladie mais également de sa prise en charge à l’échelle internationale par de nombreux chercheurs. - Interventions d’une chercheuse sur les politiques à mener. L’accent est mis sur la prévention. - Présentation d’un centre de traitement de la maladie où un individu de 20ans contaminé par des changements qui sont envisagés sur les parcours de vie, mais également du rapport à la famille. - C’est seulement vers la fin (environ 42 :45) qu’il est question du virus même. Le spectateur est réduit à un élève à qui l’émission « fait cours ». les termes techniques ne sont pas employés pour le rendre le plus compréhensible aussi mais tend à mettre le spectateur dans un espace de réflexion restreint, comme infantilisé sur la question. Ex : à 44 : 34 il est question du sort du malade, la voix off répète « va mourir » deux fois de suite, comme pour ancrer cette idée dans l’esprit des spectateurs, qui mit à la place d’un enfant étudiant « répète sa leçon » pour que celle-ci demeure. - La question des anticorps et réponses de l’organisme et des traitements. Ce passage montre que le travail qui est effectué en recherche dépasse l’entendement du spectateur et place la médecine dans une image de force. - Chanson pour détendre de nouveau le téléspectateur. - Interview d’un homme politique séropositif qui témoigne des associations existantes. L’accent est mis sur les prise et transfusions de sang. Pour certifier qu’il n’y a plus de danger qui y soit lié.
Pour conclure nous pouvons dire que cette émission a été faite de manière à enseigner au spectateur (qui ici est dans l’idéal l’ensemble de la population du pays) ce qu’il doit savoir sur le Sida. Le montage des séquences est fait de manière à secouer les idées reçues puis à détendre le spectateur pour conclure sur les moyens d’y échapper et surtout qu’il n’y a plus de risque au niveau des transfusions de sang (chose qui conclut l’émission). Nous pouvons également dire que cette émission a probablement été faite pour ancrer dans l’esprit des spectateurs qu’ils peuvent donner et recevoir du sang sans risques.Supplementary notes
References and external documents
Contributors
- Record written by : Arègue Reihanian-Hadany