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Sous la houlette d'un centre psychothérapique, quatre cents familles d'Ainay-le-Château, dans le Bourbonnais, accueillent 1150 personnes handicapées mentales. Voués ailleurs à l'enfermement, les handicapés sont ici pris en charge par les villageois "nourriciers". Mais ils constituent aussi pour le village la principale "industrie" : "S'il n'y avait pas les mabouls, Ainay-le-Château serait mort." La caméra observe avec douceur cette cohabitation de gens "ordinaires" et de gens "à problèmes". Léon prend un cours d'arithmétique avec la petite fille de la maison. D'autres font leurs emplettes chez les commerçants ou sur le champ de foire. Celui-ci donne de l'herbe aux lapins. Celui-là parle chiffons avec la psychothérapeute. Il y en a deux qui flirtent tranquillement au café. La «nourrice» se plaint : Michel était désagréable, le Centre l'a repris et va changer son traitement, mais elle n'en veut plus ; d'ailleurs elle préférait Lucien, hébergé depuis 27 ans. Ainay-le-Chateau, ce drôle de village où l'on rencontre de vieux enfants
Contexte
Éléments structurants du film
Images de reportage : Oui.
Images en plateau : Non.
Images d'archives : Non.
Séquences d'animation : Non.
Cartons : Non.
Animateur : Non.
Voix off : Non.
Interview : Non.
Musique et bruitages : Oui.
Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?