Die Geschlechtskrankheiten und ihre Folgen (1919)

De Medfilm



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Titre :
Die Geschlechtskrankheiten und ihre Folgen
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Conseil scientifique :
Durée :
41 minutes
Format :
Muet - Noir et blanc - 35 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Commanditaires :
Archives détentrices :
Corpus :

Générique principal

(Deutsch)

UNTER MITWIRKUNG DER DEUTSCHEN GESELLSCHAFT ZUR BEKÄMPFUNG DER GESCHLECHTSKRANKHEITEN, BEARBEITET UND AUFGENOMMEN VON DR. MED. C. THOMALLA UND DR. MED. N. KAUFMANN


Die Rechte wurden freundlicherweise zur Verfügung gestellt von der Friedrich-Wilhelm-Murnau-Stiftung, Wiesbaden.

UNTER MITWIRKUNG DER DEUTSCHEN GESELLSCHAFT ZUR BEKÄMPFUNG DER GESCHLECHTSKRANKHEITEN, BEARBEITET UND AUFGENOMMEN VON DR. MED. C. THOMALLA UND DR. MED. N. KAUFMANN


Film diffusé avec l'aimable autorisation de la Friedrich-Wilhelm-Murnau Stiftung, Wiesbaden.

Contenus

Thèmes médicaux

Sujet

Symptômes et conséquences de la gonorrhée et de la syphilis.

Genre dominant

Documentaire

Résumé

Les infections sexuellement transmissibles comme la blennorragie/gonorrhée ou la syphilis sont provoquées par des micro-organismes qui se transmettent lors des relations sexuelles. Elles se propagent dans les organes génitaux puis dans l’ensemble du corps, causant des lésions irréparables au stade terminal, atteignant le cerveau ou le cœur et entraînant la mort. Ces infections ne sont souvent pas prises au sérieux car elles peuvent être longtemps inactives, laissant celui qui en est atteint dans une trompeuse quiétude. Les dégâts n’en sont que plus grands ensuite : cécité, infertilité, fausses couches ou bébés « monstres », maladies mentales. Seul le scrupuleux suivi du traitement prescrit par le médecin, et une hygiène impeccable durant la durée de celui-ci, permettra à la personne infectée de guérir. S’y ajoute une abstinence sexuelle totale sous peine de poursuites judiciaires.

Contexte

Jusqu’à la fin du XIXe siècle, la lutte contre les maladies vénériennes est uniquement répressive et passe par une réglementation sévère de la prostitution. Mais le deuxième Congrès sur la lutte contre les maladies vénériennes (Bruxelles, 1902) constate l’échec de cette politique : le nombre d’infections demeure élevé et les prostituées sont toujours aussi nombreuses. Dès lors, l’accent est mis sur la prophylaxie. La Société Allemande de Lutte contre les Maladies Vénériennes (Deutsche Gesellschaft zur Bekämpfung der Geschleschtskrankheiten, DGBG), créée la même année, multiple les campagnes de prévention par des affiches, des brochures, des expositions et des pièces de théâtre. Après avoir poursuivi son action auprès des soldats durant la Première Guerre mondiale, la DGBG renforce celle-ci après 1918 en s’appuyant sur le cinéma. C’est à cette époque qu’elle s’associe avec la UFA (Universum Film AG) pour réaliser le film Die Geschlechtskrankheiten und ihre Folgen (Les maladies vénériennes et leurs conséquences).

Éléments structurants du film

  • Images de reportage : Oui.
  • Images en plateau : Non.
  • Images d'archives : Oui.
  • Séquences d'animation : Oui.
  • Cartons : Oui.
  • Animateur : Non.
  • Voix off : Non.
  • Interview : Non.
  • Musique et bruitages : Non.
  • Images communes avec d'autres films : Non.

Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?

Le film montre le développement des maladies vénériennes et leurs conséquences dans leurs réalités les plus crues. Il est en cela conforme au principe de prévention par le dégoût en vigueur à l’époque. Il s’agit de pousser le spectateur à s’abstenir de toute relation à risques en provoquant son aversion et son écœurement par des images-chocs.

Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?

La représentation de la médecine et la santé sont très crues dans ce film, avec beaucoup de plans rapprochés et de gros plans sur des organes ou des parties du corps humain endommagées ou détruites, dans le but de marquer défavorablement les esprits.

Diffusion et réception

Où le film est-il projeté ?

Cinémas.

Communications et événements associés au film

Public

Grand public.

Audience

Descriptif libre

La gonorrhée
Le gonocoque
[00'00"]
Le film débute par une animation représentant un micro-organisme agent pathogène de maladies vénériennes à taille réelle (1/1000e de millimètre) et une spirale 1000 fois plus grande. Il se transmet d’un être humain à un autre lors des relations sexuelles.
Plan rapproché taille d’un technicien de laboratoire au travail. Gros plan sur la plaque de verre où est isolé le gonocoque, l’agent pathogène de la Gonorrhée (ou blennorragie), et qu’il colore au pinceau. Il passe à plaque à plusieurs reprises à la flamme du bec Bunsen et il verse deux produits avant de la sécher et de la passer à nouveau au bec Bunsen. Ila la pose ensuite sur le porte-échantillon du microscope pour l’examiner. Micrographie des gonocoques dont les agents pathogènes s’accumulent au centre.
[02'30"]
Les appareils génitaux et leur infection
[02'30"]
Schéma de profil en coupe d’un bassin masculin. Le gonocoque pénètre par le méat, remonte l’urètre et se diffuse dans la partie antérieure de la prostate, la vessie et l’uretère du gros rein, les testicules et l’épididyme. Autre schéma de profil en coupe d’un autre bassin masculin. En l’absence de soins, le gonocoque se multiplie dans la muqueuse de l’urètre et provoque une inflammation, ainsi que des sécrétions de pus et des écoulements (pertes blanches), puis il atteint la prostate. Par le cordon spermatique, elle arrive dans l’épididyme qui s’enfle et provoque de fortes douleurs et fièvres. À terme, le canal déférent se bouche et c’est infertilité.
Schéma de face en coupe d’un bassin masculin avec la vessie, les uretères, les reins et les bassinets. L’infection gagne progressivement tous ces organes et met l’infecté en danger de mort. Gros plan sur deux tubes à essai contenant l’urine trouble et floconneuse d’un malade.
[05'05"]
Coupe transversale schématique de l’uretère avec la muqueuse et les corps spongieux qui s’y trouvent. Le gonocoque se niche dans les parois. Un petit carré met en évidence une zone qui apparaît ensuite en coupe transversale à fort grossissement, avec une glande et des vaisseaux sanguins, dans lesquels pénètre le gonocoque. Vue de face d’une silhouette masculine avec le squelette, les veines, les artères et le cœur, où le gonocoque termine son parcours de contamination. Succession de micrographies de vaisseaux et du sang qui y circule. La présence de gonocoques dans le cœur infecte les valvules et provoque une endocardite qui peut entraîner la mort.
[08'25"]
Succession de plans rapprochés. Un cœur qui est coupé en deux au couteau afin de faire apparaître les valvules en bonne santé. Des ulcères sont visibles sur les valvules d’un cœur atteint. Celui-ci est lui-même caractérisé par des vices dus à la cicatrisation des valves enflammées.
Retour à la silhouette masculine. Du cœur, les gonocoques se propagent à travers le sang dans tout le corps et entraînent une maladie fiévreuse générale pouvant entraîner la mort. Ils se fixent aussi dans les articulations qui se gonflent. Coupe de profil d’un genou avec son articulation, l’os de la cuisse, la rotule, le creux poplité, le tibia et l’artère. Sous l’effet des gonocoques qui arrivent par le sang et s’installent en son sein, la cavité articulaire se gonfle démesurément : c’est le rhumatisme blennorragique, qui peut entraîner un raidissement du genou à la guérison.
[11'09"]
Retour au premier schéma de profil en coupe du bassin. De la prostate et de l’arrière de l’urètre, où ils sont restés dormants dans la muqueuse longtemps après l’arrêt des pertes blanches, les gonocoques se dirigent en flot continu vers le méat et provoquent de nouvelles pertes.
Coupe de face de l’appareil génital féminin avec le vagin, l’utérus, les trompes de Fallope et les ovaires. Les gonocoques entrent par le vagin et remontent l’utérus. Certains se déposent dans la muqueuse et se montrent souvent imperméables aux traitements. Les autres poursuivent dans les trompes et arrivent aux ovaires.
[13'25"]
L’infection des nouveau-nés et son traitement
[13'25"]
Gros plan de face du visage d’une femme atteinte de cécité suite à une conjonctivite blennorragique due à des doigts malpropres. Les paupières de l’œil droit puis de l’œil gauche sont successivement écartées lui laisser apparaître les yeux irrémédiablement perdus. S’y ajoutent des picotements et des écoulements lacrymaux. Gros plan sur une bassine d’eau savonneuse. Une personne s’y lave soigneusement les mains avec une brosse, précaution indispensable en cas de maladie.
Gros plan sur la tête d’un nouveau-né dont les yeux sont irrémédiablement abîmés par la conjonctivite blennorragique, que sa mère elle-même malade lui a transmise à l’accouchement. Très gros plan sur un œil endommagé, tel qu’en ont hérité la plupart des patients des centres pour aveugles. Plan moyen d’une sage-femme préparant une injection de nitrate d’argent pour le nouveau-né allongé sur la table à langer à côté d’elle. Gros plan sur la tête du bébé. La paupière de son œil droit est écartée pour l’injection qui tuera complètement et définitivement les gonocoques. Plan rapproché d’un autre bébé lavé dans une bassine d’eau, laquelle doit toujours être d’une propreté totale car l’appareil génital des nouveau-nés est très sensible, particulièrement chez les filles.
[15'37"]
L’infection chez les adultes et son traitement
[15'37"]
Chez les adultes, le gonocoque ne peut être éliminé que par une désinfection précoce et impeccable. Au moindre soupçon, il faut se rendre tout de suite chez le médecin et suivre scrupuleusement ses consignes.
Plan moyen d’un médecin dans son cabinet avec son patient. Celui-ci trempe brièvement les mains dans une bassine d’eau sale, puis les secoue et s’apprête à les essuyer lorsque le médecin se lève et lui montre comment il doit procéder. Alternance de plans moyens et de gros plans. Il vise la bassine de son eau sale et prend une bouteille qui contient un solvant, le lysol. Il en verse une petite quantité dans la bassine, prend une brosse et un savon, les trempe puis les frotte l’un sur l’autre. Il nettoie soigneusement ses mains avec la brosse savonneuse puis, après les avoir rincées, se les essuie longuement tandis qu’à son exemple, le patient se lave les mains correctement cette fois. Cependant, il les essuie à la même serviette que le médecin.
Plan rapproché sur une bassine où est versée une petite quantité de poison de la marque « Adler », comme l’indique une étiquette en gros plan et très gros plan. Elle y trempe ensuite du linge, puis roule en boule et jette dans le fourneau le papier sur lequel il se trouvait.
[18'23"]
La syphilis
Stade primaire
[18'23"]
Micrographies de spirochètes, bactéries responsables de la syphilis. Un simple contact humain tel que la bise suffit à sa transmission par les fissures de la peau. Schéma en coupe d’une peau saine avec une fissure à gauche, ainsi que les couches cornée, claire, granuleuse et basale, le petit canal, le vaisseau et la glande lymphatique et le vaisseau sanguin. Autres schémas en coupe d’une peau syphilitique avec les spirochètes et de deux peaux entrant en contact. Les bactéries passent dans la fissure de la peau saine et s’introduisent dans la couche basale où ils se multiplient pendant deux à trois semaines et provoquent un petit ulcère et une écorchure de la peau, qui constitue dès lors une porte d’entrée pour la syphilis.
[21'50"]
Très gros plan sur une bouche féminine. La lèvre supérieure est écartée, faisant apparaître des gerçures qui peuvent devenir source de contamination par embrassade, usage de couverts non lavés ou de cigares et cigarettes entamés. Gros plans sur un visage dont les yeux sont cachés par un bandeau et sur un autre visage dont les yeux sont hors champ. Dans les deux cas, la lèvre supérieure est marquée par un ulcère syphilitique parfois indécelable à première vue. Très gros plan sur l’ongle d’un doigt. Une minuscule fissure, pouvant elle aussi être vecteur de contamination, est mise en évidence. Autre gros plan sur le sein gauche d’une femme, avec un ulcère syphilitique au mamelon et un gonflement du gland sous l’aisselle, mis en évidence par palpation. Les nourrices peuvent contaminer et être contaminées via cette zone sensible.
Retour au schéma en coupe. Les spirochètes progressent vers le vaisseau lymphatique, passent dans celui-ci et se logent dans la glande lymphatique qui se gonfle. Elle réussit à les maintenir un certain temps, mais ils finissent par passer dans les vaisseaux sanguins. Micrographies de vaisseaux dans lesquels le sang s’écoule en flux continu. Par ce biais, les bactéries pénètrent et contaminent tous les organes du corps humain.
[25'07"]
Stade secondaire
[25'07"]
Gros plan sur le bras gauche d’un homme où est mise en évidence une éruption cutanée qui est, avec les suintements ainsi que les inflammations et les ulcérations à la gorge, la principale caractéristique de ce deuxième stade. Autre gros plan d’un homme atteint de paralysie faciale gauche, laquelle peut s’ajouter aux fièvres et maux de tête. Les symptômes disparaissent ensuite et laissent le malade dans une trompeuse impression de guérison.
[26'00"]
Stade tertiaire
[26'00"]
Il survint si aucun traitement médical n’a été appliqué jusque-là. Gros plan sur la tête d’un homme au visage défiguré par les ulcères. Plan rapproché taille du dos d’un home dans le visage est hors-champ. Une plaie est présente sur la région lombaire droite et les deux bras en sont couverts. Il fait un demi-tour gauche et se présente de face. Un ulcère apparaît à droite de l’abdomen. Plans rapprochés de face et de profil du coude du membre supérieur gauche, dont l’ulcère a été guéri par une grossière cicatrice qui ne permet plus de tendre le bras. Autre plan rapproché d’un autre bras avec un ulcère syphilitique tertiaire.
Gros plan du visage d’une femme dont la paupière de l’œil droit reste fermée du fait une paralysie des muscles qui la commande. Elle est ouverte avec le doigt, révélant un œil souffrant d’un fort strabisme vertical bas et ne bougeant quasiment pas.
Gros plan d’un crâne sur une table. Sa structure osseuse est en voie de désintégration sou l’effet de l’action des agents pathogènes. Autres gros plans d’un foie sain sur un plateau, entamé au couteau et dont le bon état intérieur est mis en évidence, ainsi que du foie atrophié et enflammé d’une personne décédée d’une cirrhose syphilitique du foie. Plans identiques aux précédents d’une aorte saine et lisse et d’une aorte d’un syphilitique non soigné et atteint d’un anévrisme.
[29'57"]
Les pathologies provoquées par la syphilis
[29'57"]
Succession de plans moyens d’un homme atteint de neurosyphilis qui, par la dégénérescence des cordons postérieurs de la moelle épinière, a abouti à une ataxie locomotrice. Il se lève et réussit à marcher avec deux cannes. Il parvient encore à se déplacer avec une canne mais se retrouve paralysé sans celle-ci. Plan rapproché taille de cet homme assis à une table et qui essaie d’écrire mais sans succès, ses membres ne répondant plus. Gros plan sur la feuille où ce qu’il a essayé d’écrire apparaît illisible. Plan moyen et plan rapproché poitrine d’un homme en chaise roulante en proie à de continuels spasmes et tremblements, conséquence d’une aliénation mentale. Plan rapproché taille d’un homme assis sur un lit qui se lève et met un pantalon. Mais son état mental ayant été gravement altéré par la syphilis, il n’arrive pas à se vêtir d’une chemise. Plan moyen d’une jeune fille nue recroquevillée sur son lit et jouant nerveusement avec un chiffon, signe d’aliénation mentale héritée de ses parents qui n'ont pas (ou mal) soigné leur syphilis.
[34'27"]
Gros plan de face du crâne d’une personne morte de la syphilis. De graves lésions sont visibles sur l’os frontal. Gros plan identique du crâne d’une autre personne qui s’est fait soigner à temps de la syphilis et est décédée plusieurs années plus tard d’une autre maladie. Si graves qu’elles aient pu être, les lésions sont cicatrisées.
Plan rapproché taille d’un homme sur le membre supérieur gauche duquel un médecin aidé de son assistant prélève du sang en vue du « Test de Wassermann » qui lui permettra de détecter et, le cas échéant de combattre la maladie. Plan rapproché taille du technicien de laboratoire vu au début du film. Il pompe le sang dans une pipette puis le dépose dans plusieurs tubes à essai aligné sur un portoir à trois niveaux. Plan moyen du médecin debout, tenant le portoir dans la main gauche et prenant les tubes de la main droite pour les examiner l’un après l’autre. Son assistante est assise à une table à côté de lui et prend note des résultats. Il repose le portoir. La réaction est positive, le sang est contaminé par la syphilis. Gros plan sur ce portoir. Le médecin y prend d’autres tubes. La réaction est négative, le sang est sain.
Retour au le plan en plongée sur la bassine d’eau au-dessus de laquelle une personne se lave soigneusement les mains à la brosse et au savon afin de prévenir toute contamination. Retour au plan moyen du médecin dans son cabinet de consultation avec son patient. Après avoir établi une ordonnance de traitement, il lui remet une feuille. Gros plan sur celle-ci, qui indique la conduite que les porteurs de maladies vénériennes doivent adopter et les sanctions encourues en cas de non-respect. Le patient prend la feuille, remercie le médecin en lui serrant la main et sort du cabinet.
[39'49"]

Notes complémentaires

GERTISER Anita, Ekel. Beobachtungen zum einer Strategie im Aufklärungsfilm zur Bekämpfung der Gesclechtskrankheiten der 1920er Jahre, pp.61-77. In : Figurationen, Gender, Literatur, Kultur 1/2008, Böhlau Verlag, Köln-Weimar-Wien, 2008, 136 p.
SAUERSTEIG Lutz, Krankheit, Sexualität, Gesellschaft. Geschlechtskrankheiten und Gesundheitspolitik in Deutschlang im 19. und frühen 20. Jahrhundert, Stuttgart, Franz Steiner Verlag, 1999, 545 p.

Références et documents externes

Laukötter, Anja, Sex-richtigǃ Körperpolitik und Gefühlserziehung im Kino des 20. Jahrhunderts, Göttingen, Wallstein Verlag, 2021.

Contributeurs

  • Auteurs de la fiche : Emmanuel Nuss
  • Sous-titres Anglais : Chloé Bourgogne, Pauline Kochanowski, Laetitia Serris, Élisabeth Fuchs
  • Sous-titres Français : Chloé Bourgogne, Pauline Kochanowski, Laetitia Serris
SNSF-logo.png  Cette fiche a été rédigée et/ou traduite dans le cadre du projet Neverending Infectious Diseases