Difference between revisions of "Psychose hallucinatoire chronique"
From Medfilm
L.strappazon (Talk | contribs) m (Remplacement de texte — « Audience locale, nationale, internationale ? » par « Audience ») |
|||
Line 1: | Line 1: | ||
− | {{ | + | {{Fiche_film |
|Titre=Psychose hallucinatoire chronique | |Titre=Psychose hallucinatoire chronique | ||
− | |||
− | |||
|Série=Séméiologie psychiatrique | |Série=Séméiologie psychiatrique | ||
|Année de production=1971 | |Année de production=1971 | ||
+ | |Fiche_ERC=Non | ||
|Format film=16mm | |Format film=16mm | ||
|Format couleur=Noir et blanc | |Format couleur=Noir et blanc | ||
|Format son=Parlant | |Format son=Parlant | ||
|Réalisateurs=Éric Duvivier;;;; | |Réalisateurs=Éric Duvivier;;;; | ||
− | |Référents scientifiques= André Féline; Nadine Rousselet; Jean-François Chevalier;; | + | |Référents scientifiques=André Féline; Nadine Rousselet; Jean-François Chevalier; Thérèse Lemperière; |
− | |Pays de production= | + | |Pays de production=France; |
|Langues origine=fr | |Langues origine=fr | ||
− | | | + | |Sous-titrage et transcription=Non |
− | |Société de production=Sciencefilm | + | |Société de production=Sciencefilm |
− | + | ||
|Archives détentrices=CIL ;CERIMES ; Image'Est;; | |Archives détentrices=CIL ;CERIMES ; Image'Est;; | ||
− | | | + | |Genre dominant=Documentaire |
− | + | ||
|Administration de la notice=Caroline Ruebrecht | |Administration de la notice=Caroline Ruebrecht | ||
|Durée=15 | |Durée=15 | ||
|Clé de tri=Psychose hallucinatoire chronique | |Clé de tri=Psychose hallucinatoire chronique | ||
− | | | + | |Vidéo sur FTP=psychose_hallucinatoire_chronique |
− | | | + | |Audience=Inconnue |
− | | | + | |État de la fiche=Validée |
− | + | |Avertissements=Standard | |
− | | | + | |
− | + | ||
− | + | ||
− | + | ||
− | + | ||
− | + | ||
|Images de reportage=Non | |Images de reportage=Non | ||
|Images en plateau=Non | |Images en plateau=Non | ||
Line 41: | Line 32: | ||
|Musique et bruitages=Non | |Musique et bruitages=Non | ||
|Images communes avec d'autres films=Non | |Images communes avec d'autres films=Non | ||
− | | | + | |Sujet={{HT_Sujet |
+ | |Langue=fr | ||
+ | |Texte=Présentation clinique d'un cas de psychose hallucinatoire chronique. | ||
+ | }} | ||
+ | |Générique principal={{HT_Gén | ||
+ | |Langue=fr | ||
+ | |Texte=Auteurs : Professeur agrégé Thérèse Lemperière – Docteurs André Féline, Nadine Rousselet et Jean-François Chevalier<br />Service de psychiatrie – Hôpital Louis Mourier - Colombes – U.E.R. Xavier Bichat | ||
+ | }} | ||
+ | |Résumé={{HT_Rés | ||
+ | |Langue=fr | ||
+ | |Texte=Ce film, de la série "Séméiologie psychiatrique", est destiné à illustrer un cours afin d'apporter un support intéressant et concret à la présentation clinique. Comme tous les films de cette série, celui-ci est construit comme une séquence-plan : la caméra reste fixe. Dans certains cas, il semble que la caméra est cachée ; dans d'autres cas, les patients montrent que celle-ci est présente - certains patients portant un micro autour du cou. | ||
+ | }} | ||
+ | |Contexte={{HT_Cont | ||
+ | |Langue=fr | ||
+ | }} | ||
|Direction regard spectateur={{HT_Dirige | |Direction regard spectateur={{HT_Dirige | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
− | |Texte=En situation de consultation, sans aucun commentaire, le spectateur assiste aux (rares) questions du médecin et aux réponses du patient. }} | + | |Texte=En situation de consultation, sans aucun commentaire, le spectateur assiste aux (rares) questions du médecin et aux réponses du patient. |
+ | }} | ||
+ | |Présentation médecine={{HT_Prés | ||
+ | |Langue=fr | ||
+ | }} | ||
|Lieu projection={{HT_Proj | |Lieu projection={{HT_Proj | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
− | |Texte= Circuit médical / Universités}} | + | |Texte=Circuit médical / Universités |
+ | }} | ||
|Communications et événements associés au film={{HT_Com | |Communications et événements associés au film={{HT_Com | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
− | |Texte= Corps médical (« Strictement réservé au corps médica »)}} | + | |Texte=Corps médical (« Strictement réservé au corps médica ») |
− | | | + | }} |
+ | |Public={{HT_Pub | ||
+ | |Langue=fr | ||
+ | }} | ||
|Descriptif libre={{HT_Desc | |Descriptif libre={{HT_Desc | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
− | |Texte=Le film suit une séance de consultation. Quelques cartons introductifs présentent le cas clinique qui va suivre. Le film est diffusé sans musique et sans commentaires en voix-off. <br />'''Cartons introductifs'''<br />* « Strictement réservé au corps médical »* Les Laboratoires Delagrange présentent* Séméiologie psychiatrique* Une série de films d’enseignement* Professeur agrégé Thérèse Lemperière – Docteurs André Féline, Nadine Rousselet et Jean-François Chevalier* Service de psychiatrie – Hôpital Louis Mourier - Colombes – U.E.R. Xavier Bichat* Réalisation : Sciencefilm* Psychose hallucinatoire chronique – Symptomatologie psycho-sensorielle, auditive et olfactive, automatisme mental, thématique persécutive chez une femme de 60 ans bien adaptée professionnellement. L’isolement social préexistait à l’apparition du délire. <br />'''Film'''<br />On ne voit pas le médecin (une femme), mais on aperçoit tout de même un bras et une blouse blanche. Le film commence par un plan serré centré sur le visage de la patiente. Celle-ci est une femme d'une soixantaine d'années, soigneusement coiffée et maquillée. Elle explique qu'à son retour de vacances, cela n'allait "plus du tout" : "[elle] ne parlait pas, [elle] voyait tous les gens contre [elle]". Le médecin pose de nombreuses questions et demande tout d'abord à la patiente ce qui se passait à ce moment là "Comme je ne parlais avec personne, on disait que j'étais folle. Je ne suis pas folle du tout. Je ne le suis pas, je crois... folle". La patiente évoque des pétitions contre elle au travail, des réveils avec des odeurs de gaz ou des odeurs étranges, l'impression que l'on cherchait à l’asphyxier, sans pouvoir identifier les personnes responsables de ces actes. La femme fait également référence à des injures à son égard, qu'elle entendait dehors ou seule dans son appartement. Le médecin évoque la solitude de la patiente, qui auparavant "avait sa mère", décédée depuis deux ans. Elle évoque également une hospitalisation antérieure de la patiente, pour une dépression. <br />Comme dans d'autres films de la série "Séméiologie psychiatrique", la patiente explique qu'au moment où les événements étranges se sont manifestés (injures, odeurs, etc.), elle a eu des doutes quant à la destination de ces choses malveillantes : était-ce bien à elle que ces choses s'adressaient ? La patiente explique qu'elle a fini par être convaincue que ces actes étaient effectivement tournés contre elle, même si elle a du mal à l'expliquer complètement ("tant qu'on n'est pas sûr, on ne peut pas dire"). La majorité des plans sont des plans serrés. Le film se termine par cette phrase de la patiente : "Ce qui m'a fait le plus de mal, c'est les grossièretés, les... ou alors de dire que j'étais folle. Je ne suis pas folle. Je ne crois pas..."<br />Fonds Eric Duvivier code 359 G.}} | + | |Texte=Le film suit une séance de consultation. Quelques cartons introductifs présentent le cas clinique qui va suivre. Le film est diffusé sans musique et sans commentaires en voix-off. <br />'''Cartons introductifs'''<br />* « Strictement réservé au corps médical »* Les Laboratoires Delagrange présentent* Séméiologie psychiatrique* Une série de films d’enseignement* Professeur agrégé Thérèse Lemperière – Docteurs André Féline, Nadine Rousselet et Jean-François Chevalier* Service de psychiatrie – Hôpital Louis Mourier - Colombes – U.E.R. Xavier Bichat* Réalisation : Sciencefilm* Psychose hallucinatoire chronique – Symptomatologie psycho-sensorielle, auditive et olfactive, automatisme mental, thématique persécutive chez une femme de 60 ans bien adaptée professionnellement. L’isolement social préexistait à l’apparition du délire. <br />'''Film'''<br />On ne voit pas le médecin (une femme), mais on aperçoit tout de même un bras et une blouse blanche. Le film commence par un plan serré centré sur le visage de la patiente. Celle-ci est une femme d'une soixantaine d'années, soigneusement coiffée et maquillée. Elle explique qu'à son retour de vacances, cela n'allait "plus du tout" : "[elle] ne parlait pas, [elle] voyait tous les gens contre [elle]". Le médecin pose de nombreuses questions et demande tout d'abord à la patiente ce qui se passait à ce moment là "Comme je ne parlais avec personne, on disait que j'étais folle. Je ne suis pas folle du tout. Je ne le suis pas, je crois... folle". La patiente évoque des pétitions contre elle au travail, des réveils avec des odeurs de gaz ou des odeurs étranges, l'impression que l'on cherchait à l’asphyxier, sans pouvoir identifier les personnes responsables de ces actes. La femme fait également référence à des injures à son égard, qu'elle entendait dehors ou seule dans son appartement. Le médecin évoque la solitude de la patiente, qui auparavant "avait sa mère", décédée depuis deux ans. Elle évoque également une hospitalisation antérieure de la patiente, pour une dépression. <br />Comme dans d'autres films de la série "Séméiologie psychiatrique", la patiente explique qu'au moment où les événements étranges se sont manifestés (injures, odeurs, etc.), elle a eu des doutes quant à la destination de ces choses malveillantes : était-ce bien à elle que ces choses s'adressaient ? La patiente explique qu'elle a fini par être convaincue que ces actes étaient effectivement tournés contre elle, même si elle a du mal à l'expliquer complètement ("tant qu'on n'est pas sûr, on ne peut pas dire"). La majorité des plans sont des plans serrés. Le film se termine par cette phrase de la patiente : "Ce qui m'a fait le plus de mal, c'est les grossièretés, les... ou alors de dire que j'étais folle. Je ne suis pas folle. Je ne crois pas..."<br />Fonds Eric Duvivier code 359 G. |
+ | }} | ||
|Notes complémentaires={{HT_Notes | |Notes complémentaires={{HT_Notes | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
− | |Texte=Réf. CIL du film : cote 359 G + dossier sur le film (brochure de présentation recto-verso) }} | + | |Texte=Réf. CIL du film : cote 359 G + dossier sur le film (brochure de présentation recto-verso) |
− | | | + | }} |
+ | |Références={{HT_Réf | ||
+ | |Langue=fr | ||
+ | }} | ||
+ | |Documents_Film= | ||
+ | |Documents_Externes= | ||
+ | }} |
Revision as of 15:32, 17 February 2021
Psychose hallucinatoire chronique
| |
---|---|
Title | Psychose hallucinatoire chronique |
Series | Séméiologie psychiatrique |
Year of production | 1971 |
Country of production | France |
Director(s) | Éric Duvivier |
Scientific advisor(s) | André Féline Nadine Rousselet Jean-François Chevalier Thérèse Lemperière |
Duration | 15 minutes |
Format | Parlant - Noir et blanc - 16mm |
Original language(s) | French |
Production companies | Sciencefilm |
Archive holder(s) | CIL, CERIMES, Image'Est |
Main credits
(français)
Auteurs : Professeur agrégé Thérèse Lemperière – Docteurs André Féline, Nadine Rousselet et Jean-François Chevalier
Service de psychiatrie – Hôpital Louis Mourier - Colombes – U.E.R. Xavier Bichat
Service de psychiatrie – Hôpital Louis Mourier - Colombes – U.E.R. Xavier Bichat
Content
Theme
(français)
Présentation clinique d'un cas de psychose hallucinatoire chronique.
Main genre
Synopsis
(français)
Ce film, de la série "Séméiologie psychiatrique", est destiné à illustrer un cours afin d'apporter un support intéressant et concret à la présentation clinique. Comme tous les films de cette série, celui-ci est construit comme une séquence-plan : la caméra reste fixe. Dans certains cas, il semble que la caméra est cachée ; dans d'autres cas, les patients montrent que celle-ci est présente - certains patients portant un micro autour du cou.
Context
(français)
Structuring elements of the film
- Reporting footage : No.
- Set footage : No.
- Archival footage : No.
- Animated sequences : No.
- Intertitles : No.
- Host : No.
- Voice-over : No.
- Interview : No.
- Music and sound effects : No.
- Images featured in other films : No.
How does the film direct the viewer’s attention?
(français)
En situation de consultation, sans aucun commentaire, le spectateur assiste aux (rares) questions du médecin et aux réponses du patient.
How are health and medicine portrayed?
(français)
Broadcasting and reception
Where is the film screened?
(français)
Circuit médical / Universités
Presentations and events associated with the film
(français)
Corps médical (« Strictement réservé au corps médica »)
Audience
(français)
Local, national, or international audience
Unknown
Description
(français)
Le film suit une séance de consultation. Quelques cartons introductifs présentent le cas clinique qui va suivre. Le film est diffusé sans musique et sans commentaires en voix-off.
Cartons introductifs
* « Strictement réservé au corps médical »* Les Laboratoires Delagrange présentent* Séméiologie psychiatrique* Une série de films d’enseignement* Professeur agrégé Thérèse Lemperière – Docteurs André Féline, Nadine Rousselet et Jean-François Chevalier* Service de psychiatrie – Hôpital Louis Mourier - Colombes – U.E.R. Xavier Bichat* Réalisation : Sciencefilm* Psychose hallucinatoire chronique – Symptomatologie psycho-sensorielle, auditive et olfactive, automatisme mental, thématique persécutive chez une femme de 60 ans bien adaptée professionnellement. L’isolement social préexistait à l’apparition du délire.
Film
On ne voit pas le médecin (une femme), mais on aperçoit tout de même un bras et une blouse blanche. Le film commence par un plan serré centré sur le visage de la patiente. Celle-ci est une femme d'une soixantaine d'années, soigneusement coiffée et maquillée. Elle explique qu'à son retour de vacances, cela n'allait "plus du tout" : "[elle] ne parlait pas, [elle] voyait tous les gens contre [elle]". Le médecin pose de nombreuses questions et demande tout d'abord à la patiente ce qui se passait à ce moment là "Comme je ne parlais avec personne, on disait que j'étais folle. Je ne suis pas folle du tout. Je ne le suis pas, je crois... folle". La patiente évoque des pétitions contre elle au travail, des réveils avec des odeurs de gaz ou des odeurs étranges, l'impression que l'on cherchait à l’asphyxier, sans pouvoir identifier les personnes responsables de ces actes. La femme fait également référence à des injures à son égard, qu'elle entendait dehors ou seule dans son appartement. Le médecin évoque la solitude de la patiente, qui auparavant "avait sa mère", décédée depuis deux ans. Elle évoque également une hospitalisation antérieure de la patiente, pour une dépression.
Comme dans d'autres films de la série "Séméiologie psychiatrique", la patiente explique qu'au moment où les événements étranges se sont manifestés (injures, odeurs, etc.), elle a eu des doutes quant à la destination de ces choses malveillantes : était-ce bien à elle que ces choses s'adressaient ? La patiente explique qu'elle a fini par être convaincue que ces actes étaient effectivement tournés contre elle, même si elle a du mal à l'expliquer complètement ("tant qu'on n'est pas sûr, on ne peut pas dire"). La majorité des plans sont des plans serrés. Le film se termine par cette phrase de la patiente : "Ce qui m'a fait le plus de mal, c'est les grossièretés, les... ou alors de dire que j'étais folle. Je ne suis pas folle. Je ne crois pas..."
Fonds Eric Duvivier code 359 G.
Cartons introductifs
* « Strictement réservé au corps médical »* Les Laboratoires Delagrange présentent* Séméiologie psychiatrique* Une série de films d’enseignement* Professeur agrégé Thérèse Lemperière – Docteurs André Féline, Nadine Rousselet et Jean-François Chevalier* Service de psychiatrie – Hôpital Louis Mourier - Colombes – U.E.R. Xavier Bichat* Réalisation : Sciencefilm* Psychose hallucinatoire chronique – Symptomatologie psycho-sensorielle, auditive et olfactive, automatisme mental, thématique persécutive chez une femme de 60 ans bien adaptée professionnellement. L’isolement social préexistait à l’apparition du délire.
Film
On ne voit pas le médecin (une femme), mais on aperçoit tout de même un bras et une blouse blanche. Le film commence par un plan serré centré sur le visage de la patiente. Celle-ci est une femme d'une soixantaine d'années, soigneusement coiffée et maquillée. Elle explique qu'à son retour de vacances, cela n'allait "plus du tout" : "[elle] ne parlait pas, [elle] voyait tous les gens contre [elle]". Le médecin pose de nombreuses questions et demande tout d'abord à la patiente ce qui se passait à ce moment là "Comme je ne parlais avec personne, on disait que j'étais folle. Je ne suis pas folle du tout. Je ne le suis pas, je crois... folle". La patiente évoque des pétitions contre elle au travail, des réveils avec des odeurs de gaz ou des odeurs étranges, l'impression que l'on cherchait à l’asphyxier, sans pouvoir identifier les personnes responsables de ces actes. La femme fait également référence à des injures à son égard, qu'elle entendait dehors ou seule dans son appartement. Le médecin évoque la solitude de la patiente, qui auparavant "avait sa mère", décédée depuis deux ans. Elle évoque également une hospitalisation antérieure de la patiente, pour une dépression.
Comme dans d'autres films de la série "Séméiologie psychiatrique", la patiente explique qu'au moment où les événements étranges se sont manifestés (injures, odeurs, etc.), elle a eu des doutes quant à la destination de ces choses malveillantes : était-ce bien à elle que ces choses s'adressaient ? La patiente explique qu'elle a fini par être convaincue que ces actes étaient effectivement tournés contre elle, même si elle a du mal à l'expliquer complètement ("tant qu'on n'est pas sûr, on ne peut pas dire"). La majorité des plans sont des plans serrés. Le film se termine par cette phrase de la patiente : "Ce qui m'a fait le plus de mal, c'est les grossièretés, les... ou alors de dire que j'étais folle. Je ne suis pas folle. Je ne crois pas..."
Fonds Eric Duvivier code 359 G.
Supplementary notes
(français)
Réf. CIL du film : cote 359 G + dossier sur le film (brochure de présentation recto-verso)
References and external documents
(français)
Contributors
- Record written by : Caroline Ruebrecht