Auto-stop – Les cinq grandes constitutions psychopathiques (1964)

De Medfilm



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Titre :
Auto-stop – Les cinq grandes constitutions psychopathiques
Série :
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Conseil scientifique :
Interprétation :
Durée :
18 minutes
Format :
Parlant - Couleur - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Commanditaires :
Archives détentrices :
Corpus :

Générique principal

Image Pierre Fournier - Acteurs Jacques Dufilho et Dorothé Blanck

Contenus

Thèmes médicaux

Sujet

Les cinq grandes constitutions psychopathiques

Genre dominant

Documentaire

Résumé

Sont présentées ici, sur le ton de l'humour, les cinq grandes constitutions psychopathiques : le cyclothymique, le pervers, le mythomane, le paranoïaque et l'émotif. Chacune est présentée avec mime, gags, grimaces, par un autostoppeur.

Contexte

Éléments structurants du film

  • Images de reportage : Non.
  • Images en plateau : Non.
  • Images d'archives : Non.
  • Séquences d'animation : Non.
  • Cartons : Oui.
  • Animateur : Non.
  • Voix off : Non.
  • Interview : Non.
  • Musique et bruitages : Oui.
  • Images communes avec d'autres films : Non.

Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?

La caméra est très souvent à la place du conducteur de la voiture, ce qui permet de mieux embarquer le spectateur dans l'histoire de ce film. Il est directement témoin des différents rôles de J. Dufilho, des cinq constitutions psychopathiques.

Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?

Diffusion et réception

Où le film est-il projeté ?

Circuit médical puis salles d'Art et Essai dans le long métrage Fou (1980)

Communications et événements associés au film

Public

Tout public

Audience

Descriptif libre

En guise de carton, un panneau de signalisation Chacune de ces cinq psychopathies est écrite sur des panneaux de signalisation. Le film est ainsi rythmé, comme découpé en cinq parties qui débutent et finissent de la même manière. Jacques Dufilho rentre dans la voiture au côté de l'actrice, mime le comportement associé par des gags et grimaces, puis ressort de la voiture. Entre chaque partie, la caméra prend place dans la voiture pour avancer très rapidement sur la route sous une musique stressante.
Logo Sandoz, musique Sandoz. Le générique apparaît sur des panneaux de signalisation au bord d'une route de campagne, sous une musique stressante rappelant celle d'un manège. Le titre apparaît en bas de l'image, en blanc : « les cinq grandes constitutions psychopathologiques ». Lorsque la caméra arrive au niveau du panneau indiquant « Sotie », une définition du Larousse est inscrite en bas de l'image : « SOTTIE ou SOTIE Genre dramatique dans lequel les personnages sont censés être fous. ». La caméra continue d'avancer.
Le cyclothymique : agitation, prostration
Nous apercevons une femme au volant d'une voiture ; elle est filmée de face. La caméra poursuit sa route, prenant la place de la voiture, et s'arrête au niveau d'un homme seul, qui fait de grands mouvements au milieu du chemin de campagne. Un panneau indique « Le cyclothymique ». L'homme monte dans la voiture. À nouveau en vue de face, nous voyons les deux personnages dans la voiture. La femme reste impassible et semble ne pas faire attention à l'homme qui lui, fait de grands gestes ; il mime, enlève sa veste, sa cravate, ennuie la femme qui s'arrête finalement et lui indique de sortir. Il rentre à nouveau, se calme et se recroqueville sur lui-même ; la musique est plus douce. La voiture arrive sur un pont, et l'homme descend.
Le pervers : agression, voyeurisme
La musique stressante revient. Un nouveau panneau indique « Le pervers ». La voiture s'arrête à nouveau. Nous le voyons mettre des lunettes de soleil, sortir un couteau, jeter un parapluie par la fenêtre, enlever une épingle de son veston et piquer la conductrice, jouer avec le couteau, prendre une paire de ciseaux et découper la jupe de la femme pour faire apparaître son porte-jarretelles. La voiture s'arrête lorsqu'elle l'éconduit. Il semble énervé.
Dernières soties
Nouveau panneau « le mythomane », puis « le paranoïaque » et enfin « l'émotif ». Les scènes se passent toujours de la même façon, sauf que pour la dernière, il fait nuit. Le film s'arrête sous un coucher de soleil. Les trois derniers panneaux de signalisation indiquent « Sandoz » « Sciencefilm » et « Fin ».
Fonds Eric Duvivier code 175.

Notes complémentaires

réf au CIL : Cote 175 + dossier sur le film (juste une affiche de Chaval ; distribution Le Seine)

Références et documents externes

Contributeurs

  • Auteurs de la fiche : Caroline Ruebrecht
  • Transcription Français : Julie Manuel
  • Sous-titres Anglais : Julie Manuel
  • Sous-titres Français : Julie Manuel
Erc-logo.png  Cette fiche a été rédigée et/ou traduite dans le cadre du projet BodyCapital, financé par l'European Research Council (ERC) et le programme de l'Union européenne pour la recherche et l'innovation Horizon 2020 (grant agreement No 694817).